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Full text of "La liberté (1925-02-18)"

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toujours vitale de l'éducation. » 
he. … Seront aussi les bienvenus à ce conÿrès tous ceux qui, : 
h de près ou de loin, s'intéressent à cette question. Pis * 
el 20 T-A. DAIGNAULT. 


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Bernicot trouvait que cela lui prenait 
du tempa. ;: Quand it jeta un coup d'oeil ç 3 
"pour vôir s'il:revenaié, il apèrçut Sa L 2 ù there 
ldu awec un fusll qui le mettait en 


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m2 a 2e per ét demanda.ce qu'il y avait. Pour iou- ag à RER 
paroisses -euvolént bdinombre delt®. 'épohse, Salou épaule egn fuail et | note: 3 men 31, us 
£ tira. Le Frère D'Amour mourut ins-| 1—La GrandeBretagne refuse, de premier Es 


. ; TA faut que la con- 
a de l'A. O, F. C: obtienne un 
qui dépassé encore les conven- 


tantanément. Le meurtrier s'ésigna teconhalire que la France ne palèrà vait 39,000 
alors, on ne sait dans quelle direction, | qu'en proportion de ce qu'elle recevra + 
à cause de l'émoi qui régnait. de l'Allemagne en vertu du plan 


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parlant aînsi interpète | : La police fut appelée sur les lieux | Dawes; 

des pren e y À compa.. | tt u9® heure après environ elle trou- 2—Afiñ de faciliter le rembourse. |. * + Se "x - trône, -M. 

(7 SR do nr Cd vait le corps de Salou dans le bois à | ment, la Grande-Bretagne consent à | reseicice, ia {> : Fe 18. : Ps RAA QC : âttirés 
:.Vénon en foule à la. convention qui té centaine de verges da l'étable. Le | accepter des annuités fixes sans Sgard |; 3 PRÉCISE ROSE ER : | RM 2 j a 


Ifialheureux s'était tiré au coeur en |aux reyénus du plan Daweé et à doi: 
pressant la détente du fusil éontre uu | ñer la préférence à la France dans ces 
arbuste. revenus; var 
On fe voit aucune raison du crime; 3—La Grande-Bretagne consacrera 
Îl n'ya pas èu de quérelle ni aucune | tout surplüs non affecté à sa dette aux 
indication d'ennut- On que! Etats-Unis à diminuer le fardesn qui 
te meurtrier ést devenu ‘subitement | pèse sur les alliés de la Grande-Brets 
fou. gne. . , ! | président Chamb 
Le Frère D'Amour, la victime, était}. Paris — Les joursaux français com- craie ers” de la Saskatchewan a décidé l'br- 
à l'école indienne de Kenora depuis | mentent re le 108 conct| , gp 4 à ganisation d'en “hoo!” pour la vente 
dix septans; il était très attaché à | liant de la note britannique à tre 3 A agen gs des oeufs et_ des volail’es. 
l'oeuvre et très aimé des élèves. la France relativement à la question grès Del, we plis ai 56 pré ——- 
“Yves Bernicot, qui a été blessé, pour- | des dettes’ interalliées. Mais on dit À 3 cl aucune raison EDMONTON — Le lieutenant-gou- 
ra vraisemblablement se remettre.  |que ses t1érmes laissent planer des dou}, éte pe re y repines-d vernear Brett, qui est parti pou Mont- 
020 0 — te considérables si elle ne done pas ges der A8 réal, n'ouvrira pas la législature jeudi 


"| Les écoles du Manitoba for | lex à des malentendus. En retour, 


Ford fabriquere pour le gouvernement |. 
un nouveau genre de dirigeable. . Cès 


est offerte de noùs mieux connaître 
machines serviront à transporter des |- 


et de nous cofcerter pour travailler 
.« dans l'union et, la concorde A la, s 

vegarde de nos droits et des intérêts 
d notre groupe, \ 

_ Donnos à tous, À cette occasion, le 
bpectaclie de l'entente corélale, et pour 
se rendre à la convention, et pour @n- 
visager toutes les questions qui nous 


ans C'était un avocat d'une grande 
soulevées pat la préseñtation| REGINA — Le premier envoi de 1j- | "‘P"tation. re 2 


tre!" ment insuffisamment | nn de Macarons | 42 budget et l'on a pe en commencer | quéurs destinées aux magasins da gou- 
— -_—22D0-0— —— — les élèves ‘ l'étude, article par articlé, en comité! vernement de la Saskatchewan partira 
Con des Co j : -)f x ee: » K plénier. d'Ecvsse le 19 février. 
TS À: FR Deacon à comparu- devant le : La question des élections & 
res d'école dé la Sas- | 354 chargé de 1a révision au pro-| Une raffinerie d'un million} Au cours de la même séance, 27| MEGINA — Les “Grain Growers” de 
gramme scolaire, au nom de l'Associa- pour l'Alberta Haig, conservateur, (Winnipeg) a de-|1* Saskatchewan et les. Fermiers- Unis 


LA J a —— 


tion des Mänufacturiers canadiens. Il si le gouvernemet avait J'in- | = Manitobe ei de l'Alberta ont retenu 
à déclaré qu'un grand nombre des élè-| Lethbridge, Alta — L"Utah-1dsho de présenter un bill de redis | les services de H-J. Syÿmington, CR, 
ves formés par les écoles ont une ins- | Co.” de Salt Lase Uxy, vs. commen | tribuiion avant les-élyctions générales | P°u7 Drotéger Les intérêts des fermiers 
- | truction insuffisante au moment où is |cer immédiatement le consteuction | et si celles-ci se ferzient pendant jeté | de l'Ouest dans la revision de la 1oj 
commencent à travailler dang les bu-| d'use raffinerie de sucre d'un million | prochain M Bracken à répondu aux du rain 

reaux, Beaucoup de sténographes à | à Raymond. Les fermiers du sud de | deux questions d'une façon pluidt éva- nt‘. % 

-| 14 recherche de positions, atit dit, |l'Alberts dans ls région irriguée se | give, MOOSE JAW — Des officiers de la ; 
ignorent l'orthographe, l'usage deé let- sont engagés à planter 6,000 acres en; — — 0 D gendarmerié à cheval ont saisi de ja | Eroupe ée femmes, ayant survécu à ls 


et le. premier ministre Chas-A. Dup- |tres mafuacules, la ponctuation et jus- betteraves. La province de est la morphine pour une valeur de $10.000 dernière et son second groupe. ‘ 1 
aing. qu'à 4 signification des phrèses an-] La compagnie transporters une usi- : D RUE CERN RER RE) dE à NEGA sées par 507 
x = glaies les plus simples. ” {ne ici de là vallée de Yakims. wasu | 1DOins taxée d Canada |Donais et Jack Arthur, Le. UE CSV Me LUI 
“ + ” pa —— 2 ——— ingtonu, où les ie ” ‘ réussi, Amupdsen He "AT E Lart Ente À 
La distribution des liqueurs Les archives de Sir Wilfrid! proñtable 1s Run dégravee he Québec — En féponse aux critiques} MELFORT — ILE Keows, avocat | des préparatifs pour un vol 
dans la Saskatchewan Doux atires manulrtéres orme aus [dé l'opposition. le piemier miniure| de Mellort, sers le candidat conser | pôle nord. 11 partirait de Spitbergen 
— : Taschereau a démontré à !la légisis- vateur aux élections fédérales pour le | le 


mate « truites dans les districts irrignés du 
où = fus ind des | 504 de T'Alherts. si celle ds Rù a | ture aude la province de Québer est la comté de Melfort. Il » été choisi zœ 


Archives Fédérales viennent d'acqué- | réalise le succès espéré. ent 
tos- 


érstème de contrôle gouvernemental. | rir tous les papiers, documents et jé de paient les contribusbles canadiens par sur la tabl L 

On a° 1984 an entrepôt considérable |ehives de Sir Wir: Laurier, conte De ta ma dou ce one | t8te de popeiion: SEE PE "so en 
dans cette ville à cette fin. On annon- nus dans vingt-quatre caisses. t prête à entrer en opération au mois Oblles Ce Se à sen p ere ge à | fité des : 88 d 
cé la nomination de John Anderson, | 1 sera intéressant de connaître dans | d'octobre. Cie :.:* 7 RM Eanch rm ie: D” bricants late: 
te Yorkton, comme gérant de cet en: | quelque temps le contenu de ces ar! Raymond se trouve à 20 milles au! Manitoba ......-..,-...... …… 1524 | atoir volé Sas obtenu des profits 
trepôt. chives. sid de Lethbridge. : Saskatchewan 1556 aerchis k 

did | gets.  L'40n 
Ra x Œ 2 Alberth ,..:.2..-.,.4 3. 1441) 'OTTA — L'on v 

. “OTTAWA — Les anciens soldats . FORT MYERS, Floride — Thomas} ; BANKOK — Le prince Asdang. hé | Colombie-Britannique er D vga Mu rod an 
placés gur des terres sont au nombre | Edison à céläbré ‘son Tome.snniver | .iier présomptif du trô0e de Siam, est NouvessBrunsmich #5... uemné pour ia position de représentant # pars ont en 

+ “) » h î à Li # 


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NN TERESA Dr JA. SEGUIN 
N FRANÇAISE |. ox Pograge aéré 


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mu Fate. 


à FFREN, tqs 
gérant général et secré- | ment spéeulatit &ee nt à “DR J.-3. 1 
Guimont. soient préjudiciables au prodüéteur de fataire dés dirécteurs pK là “Home LA SAVOIR à mat 4 fera 5 Jon, es nôpliaux de lario st de Mew-Vork 
Surintendant général: M. Yvon La-|£raïn. ls ne crojént pas que la loi 


Bank”. 1 n trouvé F-BY! ‘Husséll, 
directeur: coupable ‘d'avoir: participé 
du dernier rapport de la: ‘banque, HT 
La suspehdu 19 sentence. 

Le juge TContsworth a enbüite con: | bles 
damné RichardP! Gough, ul était | | adresser À oui les agents où à D | emmmmmm mer 
‘vice-président de ‘là mêrne “tnétituifon, | LR rne Main Wiant } HE - P + 


À doux afis dé prison dont une …— 
* AVGEA TR ét moins: 


New-York— Vigo | Expag 
DA GO, 4! 1 AT 
d'Europe à Halifax | ; 
Tous les 21 * Vateaux à “ ed. LAPOU EN 


[1 
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ph. es qe (chef du service des cré ] 
M JC, Thivierge. : : : dés réshltats satisfaisants. Les sta- 
Inspecteur en chef: M. Charies st- 


Rue 


‘Comptable ên chet” M. A. Courir. 

Chef du service des relations étran- 
gères: M. L-P. Saint Xmour, 

Chef ‘du contentieux: M. A. Gérix., 


pas justes et on ne peut. supporter 


les, occusations quoë a Poaon, sur 


indéterminée. s 
ERA Stewart, api Li RAA 8 Jambes. et ee: titles Hun ponte ii Cort 0 4 


Lajoie, LLD. cés statistiques. 4 meignon: bas élastiques, Ceintures-sup- | ‘ | Téléphone A 468. 
ge port. Bandes latvès;-mppareHé or- À ‘ 
Surintendant des, immeubles: M.| Le rappüït s'oppose À ce : qu'on puis-}« D = thopédiques en PB € "Chaises 7089, Ed. Great West Permanent Loan 


Olivier Deguise: 
-Chef de a publicité: M. Léon Lor- 
Fun. 


‘se solliciter les pérsonnes qui ne sont} 4 - - pour invalides: M. 4.-M. Gélinhs, or- 


pas au cournt dés marchés à spéeu: - ES NES Lir AS LE: pra .86 né we 
lér sur les grains. C'est souvent ne BUS 4 NN SC 


dubtthitshess - menace pcür les teriniers ‘qui eñga- 


é met. 
! DL s“ouikLe manifeste. sénies late 


‘tant les taxes sont lourdes, et une di 


JT. BEAUBIEN 
minution radicale s'imposerait. 


_AVOCAT ET NOTAIRE 


MuxsML Fôrke trouve que le manifes M. Lewis attaque ensulte l'adminis- | Surintendant du district-de Québée: | sent tout leur avoir dans cétte spé- 
qu ommeETMeur EN, an, document du plus son du C.'N KR, parce qu'elle] M. Henri des Rivières. culation; laquelle Ds grande ‘ce, Ed. a Er Ce mes 
“haut intérêt. Le chef de l'opposition nemplole pas de cuitivateurs pour Surintendant du  dintrict . Noïd-| expérience. he TE Aider 


à des munitions dans son sac, et 11. eu: éinbranéhener 
‘distribué À tous, auù manufacturier, l'Ouest. ri mom te faire leu 
WHi'Hbroand, à l'axriédlieur, personne! sy jjeu d'employer des étrañgers. 
da Ë fl termine en demandant dé nom- 
pren de mal ésipodtéothétute 12 2 se ent tant de férmiers 


Ouest (siège AEdmonton): M, Alex. |... Le rappori principal ne se prononce 
Lefort: : pas sur la. question du. transport. des 

Surinténdant du district Centro-kgrains,. mais - le commissaire JG. 
‘Ouest (siège à. Winnipeg) : dur JE, Scott, de-Québer, dans un appendice, 
l'Arpin. Ù fait rémarquér la difficulté de trouver 
re | | des” marchés en payant les taux de’ 


Les Mennonités tent transport actuellement : en vigueur. 


{ 
mille pour rhuma- 7 Argent à Wine réanti pres 4 


tisme, lumbago, en- 
‘torses, : névral 

‘maux de: dents pr 
lle tête, morsures |} 
d'insectes, <ontu- ft" 
sions, engelures, 
toux, rhüma, érarm-" 


Calises,. ciboires, oëc., 
D on argent et en. * 
à or plaqué  : 
Prix donnés. sur demian: 


de por repolissage et 
modèles spéciaux 


BERNIER, Hon. en A | 
BERNIER, Noël,et | 
FRIPF ‘CAL 


. *kfésx! Le déveioppement des marchés | 4, Commentant_le fait que les deux tièrs 


éctioi, et tañt de Cinadienÿ Sid “noire: # ptet Avocäts: Testameñits et Süccéssions ! 
110 mn 2 get résleradt pas di tout ln ques-| r4ncAfs qui aspirent à févenir. # "des. terres. du. blé canadien passënt par lés ports reed TU Matt Municipalité, Nota F7 
: : tion de 1æ ee Lemgi de M, Evans ii REA 2 américains et que le Cañada verse an arr \ l'avoir de la: j Pratique - générale du-drait | = 
H@uent; en partioul : we Saskatoon =? K-A Williams, nueliement. ! une somme de 15 millions | | pre port e la main! 
- 4e Altique. de air John Macdonald née); M Evans, député de. Saskatoon, se 3 de 401, ED. SOMERSET . Vi 


Winnipég, sd GT PE 2 po eu aux chehins de, fer, et, aux navires 
.| américains locaux, a bn qu'un. ac- américains, A Va auggène que, 163 
cord tivait êté” signé ‘par les chefs de| chemins de, der nadiens,. pendant les 
la viéille colonie mennonite du district | dix PrEPnaiqne ‘années, se spécialisent 
‘de Hague, en vue de la vénte aux ca |, PR CS RE 
pitalistes de’ Chicago de 40,000 acres à érdord CR 
dé 'leûrs terrèb; avec bestiaux et ma: Nr . st cu : r may YUL0* 

tériel, ‘Un certain nombre de ces Men- * m5 FRE A 5 es bus. ace Mr «or D CWihatpee, 


ERA # x TE A fs Symphonie Q por npiennerment 
nonîtes dù distriet de Hague sont déjà ; L. , Sein Symphonie de Détroit 


‘M6, PMMEU ML PANIER MEL A 5167 


. : Jæ, boë- 
| teilte chez, votre |} 


déciare surpris de ne-rien voir dans 
_:etérmulée. pour uni, Cansde fort. at | D ve du 16 ôn «au 


@ 1leCanndn possède: ajogrd'hui de cienbpeg het le fes | 
\ 
| 


+: DUBUC & RO: 
AVOCATS ET NOTAIRE 
Téléphone : A1585 
201205 ED. SOMERSET : WINNIPE@ 
A | 


HENRI LACERTE 


ï sax AL de la dernière session comme un si- 
NP dostrique à. DO Marne, ME inr de où qui fé: pre- 


duivait plus tard, Maintenant ils at- 
tendéñt, et li déclarätion, que M. Mdo- 
kenzié ‘King a. faite dans son-Comté 


viMlsn'existe aucune raison pour empé- |: 
1-1cheË les mariufécturiers d'accepter là 
mræumpétition sur les marchés étrangers. 


+. Tout le cayitaÿ mouillé devrait ôtre ex- 


EN s tout derniärement les. a fort surpris, | Partis pour le Mexique, mais il en 
résrisiage actions et Kow né devrait pas Cetis : déclaration: dongere: du: ‘cosèr 172318 encore un nombre considérable { ” or ce 
rene andive-a5 rt accent À protectionnistes, mais désappointe quisattengent la vente de leurs terres. ” ASSURANCE SUR LA VIE . sd pass 
RARONDRS. Environ 80,000 acres dans le district PAL E flce Standard Trust, 348, rue Main 
/ les prairies, g . 
Mois) s41mmigration:-cetenisation——} |; di Se Fiest-dhcore ei Bibesselon de 16 dolo. Ptus bo ere de Lt 04 Lei» Ad pi aux assürés où Cu | Muse prenons F Téléphone A 7647 
2"'"1F'ne devrait pas y avoir d'immi-| Jeudi, après 6h. du soir, auoun au nie. Les capitalistes américains-veu- t x # : tout genre d'assurances WINNIPEG 
Ævgration sans colonisation, a ajouté l8|{re oroteur ne demand-at l'ajourne- | lent acheter ces terres pour les reven- ||}, L ._ :. Près dé; vingt m levis densurance en terre Ysiéphonde. A 7363—A 7364 Rp 
Æuiet progressiste. Quelques uns de, Left à: l'adresbe est ado dre à termes à des. Mennonjtes russes | La seule compagnie d'assurance vie qui soit canadienne-française ; À # 
À F débat, ptée | * , Edi , 
nos/mellleurs, citoyens nous quittent |; vote, au grand pre de des aui sont venus au Canada depuis deux 8 + ——— ARE à fice Fashion Craft, Winnipeg, Man ALEX. BERNIER, BA. 


AMOCAT ET NOTAIFE : 
848, rue Mam, Edifice Stradard Trusts 
Tél: Bureau, À 7647 — Rés. N 2524 


en 
JOSEPH GAUTHIER 


Monuments funéraires. 


* pour aller aux Etats-Unis. députés « ans. 
à présents qui: n'en:croient ni}. 
POTER problème des taux de transport | leurs yeux ni leurs oreilles. 2 


% ‘ent: maintenant. devant le peuple et! . Sur 1a protéstatiôn. de M. Meighen 
‘nréette ‘amestion t le coeur. de nos | 4 


Les assurances sur ln: vie ont.soulagé bien des misèrem Il est beau- 
coup de veuves Mat d'orphelfns qui leu# en gardent une infiñle recon- 
Lnaissance. 

Es | CT MERE ETIN de vieillards dans le mandé entibr qu? vivent en 
parfaite indépendance, une vie né 


” reuse et tranquille, frâce aux assu” { 
“ le débat a été repris. le lendemain, Lrañces sur-ln Vie qu'ils-ont mA lorsqu'ils étaient jeunes. 54%, rue À ee me ponts D  — r ithapagel 
++ diseussions nationales. Nous devons sans énthousiasme, pour henucoup d'hommes d'affäire et,d'industricls qui leur doivent hu, vi 


t 
le ad parce qu'ils Unt trouvé dans leurs polices d'assurance, à (es Maaufncturier de Done ne fonérai- | .Succürsale à St-Jean-Basties, Man. 
heures critiques, des ressources indispenpabies He He CROUVAIENE pus 
ailleurs, 


An /tégier définitivement”, dit-il, La! méme résultat lundi, 


population. des prairies! est ’prête, à | 


utir au == 
INR 
NUL ALL 


res, travaux fie elimetièré, icttrage 
se pius perd chofx dans RLLe ) jan‘ cts or 2 
tu 


il + : H;-tet-que 
: x £, R R LP2 sur 1x vie ent une hecestiré pour 1e père ] Tamillé qui à LA 
DL IUE-NPIRre inatios à: CMae e74 Que - ‘ABD-SENAT doit 1 pdt de coeur poutr1te, Das expoer ma lemme et #e# enfants, Ph PL png RON i LOUIS, BETOURNAY 
t $ matant que ces provinces S0fk pré L'adresse a. élé' proposée par le sé- à recourir à la charité publiqué si la mort yient l'enlever à, leur 
( t L7 1 4 À ee 
+ DRE Feu nateur C:-W. Robinsôm, récemment carre est'indispensable pour uné mêre dont la. disparition on dehors 1 AVOCAR Lu NOTAIRE 
| FOIS 4t tècmine en souhäitänt que 1 nommé à in Cheinbre: Hs1tS pour rè- des dépenses qu'elle entraine, laisse au père la très lousde charge d'éte- De bons verrés dénnent une bonne vie 60%, Edifice Great West FP:rmanem 
! *: ‘s'ttaquè enfin aux réformes du Sénat that: 1 Nadia -| de revenu In famille en retirerait-elle? ; 356; RUE MAIN: : 
A : F on et! bille. est nécessaire au’ jeune hormme, 4 là jeune fille qui doivent KELLER # STALL an 
étqne notre pays s'engage sur la. vole par le: sériateur Jules Tessier. protiter de leur jei unesse' pour. économiser. un argent quo d'autres jet- tométristes & Opticiens —— aa -—Résigencet--N2440 
|. qui de de : nos té Sr -L AGE - tent ai ventpet dont ils auront taht, besoin plus tard. Re ee de Ÿ : 
TM gps anéru premilér [3 aré que lek provin- ; Ron + est idisgensable au fermier. comme she von cs prefosisanoll CHA Mubrave à Portage 
+ mes aurajen r n médecin où ut n#00n ent à \ 
J M. 3:87 rt te oo ® “ OS ON suite ete Qu'en réslera-t-il dprès leur mort? Quelle source re À sa sh innipe ph RS Fhsonce ed Fes 
sons de se dre ai les ports du: lit- de revenu l#. famille en retirera-t-ile 7 "re ni: odérenRs te voyage 
“Lhdéputé travaillste: de Winnipeg: | toral: de: l'est: receväient plus de tra: | 1 L'homme d'affaire peut avoir entre les uaine une magnifique entre que vour Vous nt Acheter ii 
rône * prise, Qui Îlh dirigera quan ne sera plus } billets pour faire venir vos 
PR OLLTONES que le nent fic: En secondant l'adoption de l'a- Le fermier Vit sur sn terre et il élève an famiilh, niale-it doit tra- amis d'Europe. sy 2 
ne contient rien de k et que la | dresse, le sénateur Tessier a dit que vailier avec tout son courage. Qui væ fuire le travall après mu mort? DENTISTE 
plupart des paragraphes des trom- | je surbles de dotse blian commercial! em à de famille ira-t-elle À la éhiarrue eu lxissant les enfants à la 194%, ave. D qe om ge Jaiut-Bonuifnce M.E, SA BOURIN 
pe-l'oeil h conseille au gouv ent preuv. rospé "à C'est tous, quelque soit la situation que nons oceuplons, un Heures de bureau: 9 h, 4m. À 5 h. p, Agent de ochauxe. Envois d'argent dans 
° de reviser immédiatement |" de Borges sa 7 ve nl auvoir de ÉOnScie Se, et ün devoir d'autant plus “re le à rempiir que r hedlee pre le mardt. dog "°°" mitiel" de rares Assurances. 
croit que: la ‘politique préconisée dans les primes que nous versons demeurent pour une bonne nârtie & notre at VoARUet salé 
pnEne britannique du Nord; de fe-|je discours du. trône est dé nature à ’ disposition en cas de besoin, et nous reviennent en cas de survie, « de dnol-4ù ln-HDES ESS ve ct Sie honttnee, Mas 
con à éviter des situations comme la EN + RAR ; Qu'on né dise pas: “Jé ne suis pas chpable”" L'est une excuse qui | és Eire? “125 
aider beaucoup à nôs ports nationaux! è n'en est pas une. Un est. toujours cape e quand on le veut bien et nn 
::Aéoision du Consell privé. contre lalet particulièrement à celui de Québec. 'iorsqu'on comprend parfaitement toute l'importance de la ch J 
t possi ” é F Mai = s dans l—na Sauvegarde, et n'allez pas porter votre ARJ 
+. loi Lemieux. Il est ble que d’au- Le sénateur Robertson croit que no- argent à den vempegnion amérieuines au! ne vos donnent pas de meil- DR JARJOUR J. O. BRU! 
.xfres: de nos. lois soient inconstitution- | tre commerce est loin d’étre prospère, leures conditions que les autres et appauvrissent le pays en soutirant E 
" * ! ses capitaux. Gradué avec distinction à Mont 
velles et il faut. que lé ppuple caha- Let il est d'avis que le Hbre-échange n'a réal En digg 2 in ve rer dl \ MONUMENT FUNERAIRES 
sache où il'en est. pas produit les fruits désirés, siens fentistes de la provinée de Quebec! / MARBRE GRANIT 
a Wondwwori ent d'avii que ates | Nos roveuus ont été réduits de 148: LA ‘SAUVEGARDE 702, Ed. Great West. Permanent*Lobn eTc. 
» : | ‘ténquiers prédisent la prospèrité, nous | 000,000 et notre ‘population a diminué | 


Bureau ie de Montréal 
Vingtdeux ane d'existence 

RAYMOND DENIS, gérant pour l'Ouest Canadien 
| : VONDA, SASK. 


A.-L. MONNIN, agent spécial pour le Manitoba, Victory Bldg., Winnipeg 


eee 
P.-J. GALLAGHER 
._C:E. KENNEDY 
! … Deritistes 


TE: À 2688 
11205, édifice Avenue Block, aye. Portage 
Où parle français 


346 Avenue Taché Saint Boniface 


En face de l'hôpital St-Boniface 
Télépho”s: N. 1481 #2 


Téléphone. N 1771 


N. PIROTTON 


= MoNvMENTS FUNERAIRES 
Siatues de tout genre 
Couronnes en perles ? 


885 et 291 RUE,DUBUG, S-BONIFACE 
CT | 


ru Ra _ un | sense Otagns cum "À 29 Wii BARKER 


de: 37,000, 
L'agriculture souffre 
Le sénateur Dandurand, leader du 


Charbon Kiee Hill Valley 
Demi-frère de l'anthracite Î 
Knee Hi! “Lump”—Par tonne #12.50 D} 


rales l'attention susceptible de les fai 


“ON DEMANDÉ DES AGENTS 
re renaître à la prospérité. Il dit ' 


25 soux de moins Dar tonne par 
voynge de 3 tonnes 


| Téléphone N-1467 


158, BOULEVARD DOLLARD 
(Visa-vis l'hopital) 


k À. DESJARDINS 
Se 2 spi avec pret 


k assistante diplômée 
} : 25 ans d'expéribnce 


port et le coût de la production, nous 


2 CA 


CP, 


ee ©. 


Pa 


jamais Pris M paie de 3 arrber! 


LE “BORDER CITIES STAR”. 


Le Border Cities Star, de Windser, a publié: à 
e de Bonñe Entente, | 


plaie ct déclare que le RS 
loul ‘au moins emende façon à le rendre re y 


le justice-ordinaire et d'une sage AP- 
ôn'dé cé qui convient. H ést évident que le règiement 


XVH importe peu ou point aux Ontariens de langue anglaise. 
Alors, quelle raison quelconque peut-il bien y avoir de main- 
tenir cétte cause de friction ét de mécontentement? 

* Ce n'est pas la première fois que le Border Cities Star 
mânifeste ca nt sa sympathie à l'égard des Canadiens 
français. Son priétaire, M. W.-F, Herman, ne fut Sr ha 
pas toujours notre wmi. 1} n'y a pas de longues années, l'u 
dé ses journaux_se signa!a d 


— Te français el les écoles séparées dans la Saskatchewan. M. 


Hérman possédait alors le Post de"Régina et le Star de Saska- 
toôñ, deux quotidiens importants passés depuis en d'autres 
mains. On se rapelle que la lutte scolaire fut particulièrement 
vive, dans la province voisine, de 1916 à 1919 Du cêté de 
nos adversaires, elle était dirigée avec un acharnement hai- 
neux par le Slar,.dans leqiel les loges orangistes trouvèrent un 


porfe-parole dévoué et influent. Le zèle du confrère pour la |serait 
- causé de l'English only était tel qu’ un jour il poussa l’andace 


Jura prèconiser ia suppression du Patriote de l'Ouest! 4 pe 


toût à fait ’ses SE © contre les a et les Canadiens 
français. Nous éûmes méme l'agréable surprise de consiater | 
un jour que notre-grand ennemi 1€ Sfar nous devenait syimpa- 
ihique. 11 & continué dans cette voie et tout récemment il van- 
tait le système scolaire de la province de Québec, qu'il placait 
au-dessus de tous les autres. 

De tout ceci il se dégage une petite leçon à l'usage des scep- 


AI 


“ 


Ta 


pour le 
qu'ils sûnt faci- 
.EtatsUnis. Con-|in 
anadiens français | is 
Sr à pren- 


: RSR à face. Le 


c'est bon signe. Maïs où est la 
cause du mal. mal déploré?" AFexé- 
cutif des.chemins de for? On 
serait porté à le croire; cepen- 


iMti 


FAR trot nd mn dé vif 


se races mé, com 
CAL D dpoi|*e 
while from ever 
Qurhoe. unatiimous applause 
n to the behäviour of the 
Rd towards CHE 1 
mdäy one n such 

satisfaction: ot. one Er 34 such 

discon n_fhie. 


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De, ORNE ER ee vor 77 Lis 

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* si D. r'igtes 

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sposés en pit Du 


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5 FOREST PÉX ; Seb 16 
nôre fs D MR Pres $ 
TL 1 2 Ne À wepg V4 (LT Eee 


b Abe 


vs. -et-plus on taf ê 
prenne “0 Ÿ 


ik Re DS A dure, à 
ce  rest e ST : 


Aucun bee. te me une 
a et ns on | fau ao à 


» | de son église, A1 apporte le même goût | le nombre s des. d 
artistique à planter des arbres autour Ca dép ris: da fe 
de l'église Po Ag Me tea ans reonnds de don « 


? Theré|: 
nes 


dant le mal n'est pas là tout éducati 


entier. 

mins de fer de 

lons de Québec as 
accordés aux ra 
es Etats-Unis? Certains 

hommes publics de Québec. 

Donc, pour autant, le remède 

ieunes cils onu de à 

posons c ie de la 
difficulté réglée; il resterait|® 


même vrai que-la som- 


me requise pour lace- 
ment des Fils pre 


ce sont 


ses qui sont; la plupart = 


: er d'ail- 
leurs n'irait-elle pas -à réduire 
à un minimum abordable le 
prix de passage de l'Est à 
l'Ouest du Canada? 

M. Olivar Asselin: 


aitir: Pat- 


tention du Département de Fre 


tiques et des pessimistes. L'exemple de M. Herman et du far l'intérieur sur ce point. Les loc- 
de” Saskäloon ‘nous autorise à ne jamais désespérer de voir | teurs de Ja Rente qui fréquen- 
venir à nous même les hommes et les journaux qui nous sont tent dans les cercles de la finan- 


. 1era aussi + 


La représentation dés Æomanesques, que doit nous donner 
le cervle dramatique L'Aiglon au théâtre Dominion, le 23 
février, s'’anñonce comme une brillanté manifestation d'art 
pe à 4 Parvcille aubaine n’est pas d'occurrence fréquente à 

innipeg et nous nous faisons un plaisir de la signaler d'une 
tr toute spéciale. 

Sir James Aikins, lieutenant-gouverneur de la province, a 
bien voulu accepter le patronage de cetté soirée et il ÿ pronon- 
cera unt allocution. Le professeur W.-F. Osborne, dont tout 
te mondè connait la sympathie pour la cause du français. par- 
naturellement dans cette langue. 
C’est lu première fois, croyons-nous, que sera jouée dans 


l'Ouest une oeuvre php À de cette valeur. u faut louer san> 


Edmond R 
le théâtre français contémporain pour qu'il soit à : 
d'établir ses mérites et de carac tériser sa maniere. 


juimals en l'occasion de les voir à la stêne. An À et! 


ce peuvent ici donner un joli 
a >< Pre main. + ou 

tique d’én ation du 
Département de Fintérieur a 


que . la 
était ça æ 

lui a préféré celle de J'Europc 
centrale et des grands centres 
industriels de. l'Angleterre. 
Nous récoltons et nous récalie- 
re encore longtemps, nous le 

raignons, les fruits de socia- 
he ét de communisme que 
comportait pareille polihiqu 
d'é ation. . 

Il n'est jamais trop tard pour 
reconnaître une erreur et s'ef- 
forcer de la réparer... Nous 
croyons qu'on ferait mieux de 
æorder au Canada 


teutrils bien de ne pas miauquer, La, représentation des Roma- |. 


f Cette comédie n'est sans doute pas la -plus célèbre 
; mais, outre qu'elle est à peu près la seule abor-|. 


dable pour: une troupe d'umstcurs, lle renferme. iouies de [au 


be subject lo 
< {and direction ef the. C hief In-, 


Da 


ping. Lo. ils : averwhelming 

major the Roman.Catholic 

anadian popula- 

tion of Q e would have been 

quite at ease to pass a school 

lat such-as the followi On 
tario Reg 17, sect, 3. 


the language of inst 
rication: but sucit nse 
ea | shall pr be continued beyond 

Vars 

“9; Such instruction in Eng- 
tish may be taken only by such 
me À whose parents 'direël | 
ey shall do so and may 
… given in the Englésh ‘lan- 


Tag __Such'insiruction in Eng- 
dish shall not'interfere with.the 
adequacy of the instruction in 
rench;-and the provision for 
sach instruction in English in 
the time-Lable of. the: school}. 


provision for such 
instruction in English in. the 
time{able of the Foy +2 shalt, 
t a 


speelor.”. : 

“A feeling natueal-1o ‘all. chi- 
vairous nalians go. us. 
from lakiag sue slep and 
warnedus that il would,be al- 


} saxonne nes age. de - a MT au 


‘| des, arbres : “autour de leurs maisons. 

Pans quelques -années., Gravyel | Pa 

“| peut devenir l'üne.des -vil- d'uge .rés 
les du ‘sud de. nager died ù 
2 se plaira à ge re "C'est & 


Le ;e 
moiete-te Disssus à ? 3 
cpe- à] Londres bu voyage d'études gr nd 


un danger, parce que nous tra- 
vüillions à nôyer (!) les autres râces 
en élevant trop vite des. pue Lan 
ns français. “à 
_Ce-boDr-Hesdiem:-de Gloncputer: 
ail" voulu jouer R rôle du Capital du 
Capitôle et sauver (?) la race anglo- 


faites pour Gros ua fav. mé 
sais, 19e ne Ganada, k 
éTons # Jet: ‘add un 1 


are mais aninn, 4n1dUigOnLS ‘66 trurt, et 
désireux de ne-mebtre à ln tâghe: «1 succés final 
«#4 Ge que. nous devons 

| lun dans M detre de lévoaue de Glow. 1 
d'inseris avec:plaisir da: v ! 1 


réponse de. Sin Arthur Currie, de l'Uni. | 
versité McGill, à,eg-broyeur de noir, 
À .ce semenr: de, panique: : je 
“J'ai, .avec surprise et. non, cons 
Farticie paru dans la pie- 


reval| ie 


imière @hge dela ‘Gazeite”! do 2e ma- 
tin, 81: r-1926),-intitul(es. Les 
Cauadiéns, (rançais menacent les An- 
£&lais”, résumé d'une lettre de l'évôque 


lu question avee soin. Êle me parait, 
Au sontraire, avoir prêté trop d'alten- 
tion à des. AR mesquins et-peu ré- 
paudes. 


together alien ta justice, 401 


pe mg to 


_The { Council Public 
| Education is council of 


ie 


sfsie à 


là faute n'en sera certainement î 


à ce on auront dit qu iauront | 


ct 9 à, TARNATES MEANS: 


nn pet vp P Vat 
SITENT ei : 
? ais k ge 


\: iles dés proverbes où dictons 
A (Selaitt ré 
: Nous rocevrohs les rép 


AVIS IMPORTANT — N 
se 


# 


ô : Müre! aux jours qui passent le bien qui he passe pas-—H, Bordes 


; 


“ 


. 


X. Cette déf 


populaires que vous connaissez dans les- 


serent publiées dans le numéro du 


dans notre numéro du°11 février. 
++ Nous supprimons le coupon qui devait accom. 
mails que les concurrents n'oublient pas de 


adresséés comme suit: 


_ Solutions des problèmes de la Série 


° 33--DE QUI-SONT LES PHRASES SUIVANTES: 
Hu Le coeur à ses raisons que la raison ne connaît pas.—Pascal. 
ar NNivre, c'est aimer toujours, jusqu'à la fin! jusqu'au sacrif 


mises à la poste jusqu'à la date du 
les solutions de la Série No 


Les Jeux de la “Liberté”, 
, 519, avenue McDermot,' 
Winnipeg, Man. 


No9 
x 31-—DEVINETTE retiré 
ri DE tretat — être (eféature) — TAT 
#11! Abbé — bb . (bébé) — AE 
Gros — £g (geai) -— _ROS 
F, AEROSTA 
32-MOTS CARRES SYLLABIQUES 
vi GRE N A DE 
D". NA V-I GUER 
ve M DR CURR. PL R 
Mme 0 


ice: c'est pren- 
Pet 


L'inditrérentisme patriotique, ou l’anénile du sens national, est un mal 


‘à battre, 


O8 le réconnaït au désintéressement envers les choses de 


Lhotre nationalité, le manque d'esprit et de fierté de race.—Antonio Perrault. 


LA 


S VILLAGES DI 
PUBERCULEUX 


‘La tuberculose est le type des ma- 
Fadies sociales, c'est-à-dire des mala- 
À dies dont le développement est lié aux 
fconditions mêmes de la vie sociale, 
jet qui tendent à envahir; pour cette 
fraison, l'ensemble de la collectivité 
! sociale.” 


À 6 Rue 55 fin DRE ef 


nition, due au professeur 
s ; M. Robert Wolfsohn l'a 
* tisè-en tête de la thèse qu'il vient de 
#houtenir: pour le doctorat devant la 
? Faquité de Médecine de Paris, et à 
laquelle il a donné pour Litre: “Les 
t villages de tubercüieux en Angleterre.” 
!: M: Robert Wolfsohn pose ce-princi- 
“pe: “Tant qu'un traitement spécitique 
Lu'aura pas été trouvé pour la combät- 
dre, le traitement de la tuberculose 
4 a le type du tfaitement sûcial 
D per VAL N'y at-il donc, à l'heu- 
ïre actuelle; aucun moyen de-lutte-con- 
are là tuberculose? Si, il y a le dis- 
Mpensaire, i! y a surtout lé sanatorium, 
mais “le problème médical n'est pas 
æntièrement, résoju par le sanatorium, 
uisqu'ên le quittant le malade ne 

t être considéré comme guéri. Sor- 
id sanatorium, le tuberculeux à be- 
de travailler pour gagner sa vie. 
capable d'uné certaine acti- 

té, il se jette à corps perdu dans la 
économique et devient dangereux 
pour les autres.” : II le sait êt ce n'est 
j là ce qui peut lui rendre l'espoir 
Net 18 Courage, ni consolider yn état 
file santé que le sanatorium avait amé- 
 frdvisotrement. “Les principes 
traitément sanatorial sont bons, 
3 la méthode Suivant jaquelle on 
applique qui est en défaut: cette 

e; pour porter ses frults, doit 

r compte, à côté du but médical à 

re, des buts moral et social" 
prolésseur Léoh Bernärd l'a, dit: 
Notre conception actuelle du traite- 
t populaire est une erreur” On 
envisage la question que sous ce 
objectif: le tuberculeux la collec- 
wité ne fait rien ‘ou presque rien 
se protéger contre le tuberculeux 
pour'protéger la famille de ce ma- 


à: 


\: » 
aihien, jes phtisioiogues de tous 
y# ont été conduits à cherchèr 
modifications ‘pratiques 1] est 
d'apporter à là lutte antitu- 


{A rembourser l'argent si vous n'êtes 


ques sont rendus tels qu'ils’ convien- 
nent À l'état anormal physique et men- 
tal de ces villages, la colonie de Pap- 
worth — à douze milles de Cambridge 
— fondée en 1915,_grâce à la généro- 
sité de sir Ernest Cassel, par le doc- 
Varrier-Jones._ ARE 

La colonié de Papworth se compose 
de deux parties absolument distinctes: 
l'hôpital et Ja colonie proprement dite. 
L'hôpital réalise la cure sanatorialc 
habituelle et offre aux malades la pos- 
sibilité de recevoir immédiatement les 
soins nécessaires à la moindre alerte. 
Le tüberculeux sait qu'on s'occupe de 
lui “non par charfté', mais parce que 
la société a reconnu que, par suite de 
circonstances malheureuses et nor par 
sa propre faute; “il a dû s'arrêter sur 
la route que d'autres continueñt à par- 
courir”. 


Au bout d'un temps plus ou’ moins 
long, le malade est admis à travailler. 
Le docteur Varrier-Jones affirme, en 
effet, qu'‘‘un travail de quelques heÿ- 
res, gradué suivant les forces ‘du ma- 
lade, est un remède d'or dans le trai- 
tement de la tuberculose”. Les tra- 
vaux ruraux ne conviennent qu'à un 
nombre très restreint de malades. Par 
contre, une foute d'industries qui peu- 
vent être pratiquées dans des ateliers 
spéciaux, bien aérés, ne sont nulle- 
ment incompatibles avec l'état physi- 
que du tuberculeux, A Papworth, il 
y a des ateliers dé charpentiers, de 
menuisiers, d'ébénistes, de tapissiers, 
de tailleurs, de fabricants êt de répa- 


Soyez prudent après la 
grippe, les rhumes 
et l'influenza 
Si vous vous sentez nerveux et affaibli 
vous devriez faire attention 

Il existe un nouveäu remède qui 4 
fait des merveilles dans des cas sem- 
blables. St votre docteur ne vous l'a 
bas déjà prescrit allez chez votre phar 
muclén et achgtezs-en une bouteille Ce 
remède s'appélle Nuga-Tone. Prenet- 
en pendant quelques jours et vous se- 
rez plus qu'étonné de lé rapidité avéc 
laquelle vous commencerez à redev- 
nir en bonne santé et vigoureux. Nos 
lecteurs ne devraient pas hésiter à 
essayer celte merveilleuse médecine, 


Nuga-Tone, car ils la trouveront agréa- 
ble à prendre. Elle fortifie les nerfs, 
le sang et le corps en peu de temps. 
Nuga-Tone procure un sommeil récon- 
fortant et vous donne de l'appétit. 1! 
stimule le foie ét règle les fonctions 
de l'estomac et des intestins. Les fa- 
bricants du Nuga-Tone ont tant de 
confiance en Nuga-Tone qu'ils obligent 
tous les pharmaciens à le garantir et 


Pas satisfait. 
paquet. 


Voir la garantie sur le 
Il est recommandé, garanti 


| 


:Æn 1924, # y eut 2.716 par 


4 


L 


occupa : : _. 
Leu du 25 mars au $ avril, s0% camp de art ghret 
Le, 2° : souve- 
nn con ge pét Lage cmt tout 46 téisent ne détiont.i 
vernement, 


rés” ou ‘“guéris”, 


| ECHK 


__{employé des pistolets. 


cé nus l'armée française 110,000 ré- 
formes pour tuberculose pülmonaire, 
Sur ces 110,009 - tubercuüleux, 15,000 
soit morts, 2f,060 présentent des lé- 
sions en activité, 70,000 sont “améllo- 
Ces malades sont 
est insuffisant pour vivre. Leur pen 
sion, s’ajoutant à leur salaire dans.une 
institution du genre de Papworth, leur 
permettrait de le faire.’ Ainsi, pour 
réaliser ce système en France, il est 
inutile d’äâttendre que l'Etat ait la vo- 
lonté ou la possibilité de s'intéresser 
au sort des tuber=uleux. Une réali- 
sation immédiate s'impose. ‘Et le vil- 
lage de tuberculeut remplacera “le sa- 
natorium populaire” ou, plus exacte- 
ment, le complétera, et fera enfin de 
lui “un organisme vraiment utile” 


LL ‘, Julés LAURENT, 


«ir :2 


Sanglänte bagarré entre ca- 
tholiques et communistes 
à Marseille 


Marseille — Deux personnes ont été 
tuéos'et deux cehts blessées au cours 
d'une tentative des communistes: pour 
empêcher une réunion de catholiques 
que présidait le géuéral de Castelnau. 
Certains des manifestants ont même 


EAP 


Vingt-cinq personnes ont été arré- 
tées. Le maire a pris des précautions 
spéciales pour éviter de--semblables 
manifestations à l'avenir et il a défen- 
du toute réunion publique pour une 
période indéfinie, Les catholiques pré 
tendent que la policé n'a pas su les 
protéger comme elle auraît dû le faire. 

Re 2 ee 


. Le doyen du ‘barreau de 


Paris est décédé 


Prague — Edgar Derñande, doyen 
du barreau de Parig, est mort à l'âge 
de 84 ans. 11 fut avocat du prince 
Bonaparte durant son procès pour 
avoir fait feu sur 16 journaliste Victor 
Noir, en 1870, et prit part à la fameuse 
affaire Dreyfus de 1894 à 1899. 

Dh D— — 


M. de Monzie est parti 
pour Rome 


ji Paris — Le sénateur de Monzie /est 


parti pour Ronie sous prétexte d'affai- 
res privées, mais on crôit 'it sera 
reçu par Sa Sainteté pour difluter la 
situation qui résulte de la suppression 
de l'ambassade française aù. Vatican 
et’pour trouver un compromis qui soit 
acceptable pour le Saint-Siège et pour 
le gouvernement Herriot. M. de Mon- 
xie est un partisan du gouvernement 
actuel. Il a beaucoup participé à la 
reprise des relations officielles avec 
le gouvernemont soviétique. 11 est 
fortement opposé à la suppression de 
l'ambassade au Vatican. 
Re D —— 


Berthelot reprendra son 
titre d’ambassadeur 


Paris — Philippe Berthelot, ancien 
secrétaire général du ministère des 
affaires étrangères, sera réinstallé Qu 
rang d'ambassadeur. Il avait 6té sus- 
pendu pour 10 ans en 1922 par un c<o- 
mité disciplinaire à la suite de la 
faillite de la Banque de Chine, 1H 
était accusé d'avoir envoyé des mes- 
sages, pendant la crise, qui auraient 
eugagé la résponsabilité de la Fran 
dns une aïaire privée. 

La réinstaHation serait faite d'après 
le récent bill d'amnistie, En atten- 
dant-d'être nommë!à une ambassade 


à l'étranger, {l serait conseiller de M. & 


Herriot sur les questions de politique 


et vendu par tous les pliarmaciens.  ; étrangère. 


à 1919, dit M. Woïlfsohn, on a pronon- 


Paris — Le duc de Nemours, le plus 
jeune frère de Louis-Philippe d'Or. 
léans, s'embarquéera en avril pour vi- 
siter Lord et Lady Rodney, qui ont 
#n-ranch à Fort Saskatchewan, Alber- 
ta. On dit'que le duc espère pouvoir 
acheter un-ranoh -près de celui du 
Prince de Galles, dans l'Alberta. 


français à 


Les journaux 
‘quatre 


Varie -— Les quotidiens de Paris’ ot 


du réste de la France qui se vendaient | France 


jusqu'ici 15 centimes le numéro, ont 
porté, d'un commun éccord leur prix 
à 20 centimes l'exemplaire, .à dater 
du 1er février: et ; 


Poür les mutilés 

Paris — On. s'est ingénié à faire 
oublier;aux victimes de ia guerre leur 
disgrâce, ; : 8 G 
: «Pour ceux qüi sont privés d’un bras, 
on 2 fabriqué des briqgéets si bien éta- 
blis que l'on peut allumer sa cigarette 
d'une seule main... 

Pour jouer aux cartes, dans certains 
cafés, on apporte aux clients qui n’ont 
qu'un bras des petits appareils de bois 
si habilement construits que l'on peut 
d'une seule main tenir son jeu, en 
distraire la carte que l'on lance. — 

Pour ramasser son géin, une main 
A toujours suffi. 

——— Dh — 


La plus nombreuse famille 
de France 


Remiremont — M. Camille Laperte, 
cultivateur à Bussang (Vosges), père 


de onte enfants, travaillant tous à la | 


terre, bénéficiaire d'un prix de vingt 
mille francs, ayant écrit à M. Méline 
pour le remercier des démarches que 
le sénateur des Vosges avait faites en 


sa fäveur, a reçu de l'ancien président | * 


du Conseil une lettre dont il est à bon 
droit très fier. M. Méline dit ressen 
tir un vif sentifnent d'orgueil à l'idée 
de voir une. famille de l'arrondisse- 
; ment de Remiremont mériter, une fois 
de plus, d'être citée comme exemple 
par ceux qui cherchent à encourager 
la repopulation. à à 
Rappelons que la famille Amet, dont 
tous les membres sont cultivateurs à 
Cornimont (Vosges), qui compte vingt- 
trois enfants, est la plus nombreuse 
famille de France, ce qui a valu la 
croix de la Légion d'honneur à Mme 
Amet. ; 


RE 
La foire de Bruxelles 

Bruxelles —- La foire commercigle 
officielle de Bruxelles s'affirme, de plus 
en ‘plus, comme un évéñement inter- 
Dationa] d'une importance considérable 
et d'un intérêt unique pour les com- 
merçants étrangers, tant importateurs 
qu'exportateurs. : 

Les soins minutieux apportés-à son 
organisation par un comité d'élite, dé- 
sireux d'imprimer à cette exposition 
un caractère à la fois: pratique et 
agréable, non moins que la situation 
centrale de Bruxelles présentant un 
accès facile à tous ceux qui viencent 
ren Europe, expliquent l'attrait croissant 
dont les cinq foires qui se sont tenues 


LL 


Tobs ne 
NCOUrez au- 
vous 


LEMA =: 


hs 


li 


Paris — Les négociations entre la 
et l'Allemagne pour la conclu- 


D: 


visiter en même temps 
artistiques de Rome. 
Du Canada, 


ASE T LE rs À 


mme ont de ee nome à dm su 


RE AR NP E PARDON LA IG 47% 
È ti. e + gp" : % CP 


ah ent ange ame he cn me de mn meme. 


ww / 


22 
* à, 


se péter que dans noîte ville ik y & ‘ 
error nr 
quañd un peu de secours redonnerait là santé 
à celte petite, änémiée par l'insuffisance de ta” 
nourrilure. 
Les misères dn pauvre, eice que nous les, 
connaissons? ; Les riches. les soupçonuent-ils FA 
es LA f - [méme? Nos sommes loùs ün peitéomme cette 
Tu'm’as aimée trés vite. 
Mn re i, n'est-ce pas? 


nr 


Ta nr mue fa promis de 
m'’abandonner ae Ë ta jeunes- 
se. Je l'abandonne le: clin de 
mes + s 


ayant visité une communauté religieuse pauvre 


fut pris de. com et elle résolut d'envoyer” 


a NS foréé et uñe gra 


Tu es commeune petite soeur 
jumelle que j'aurais eue et avec 
qui je recommencérais la vie: 
Ta-bas, dû. temps d'Ulippc, 
d'Auguste, de Charles, de Ro- 
bert, de Rose, de Rosd, de Ro- 


— &naive, me répondit |: attendre pour envoyer, du bots”. 
4 Seat: a toujours été ; 
fort en il continuera: 
sura des prix et des couron- 
nés toute sa vie. Je ne Penvie 
t. Il aura de mesquines : 


et se fraye un chemin entre les 
cimes, tout s'ouvre et revit. Les 
maitres trones s’élancent en fu- 


j è è nt 
ce d” mage ah dr -|sinc,-de Rosalie,-de ‘Parfait et |sées vers ce vert jaunâtre dont 
inais if n'aura l'argent. -|dé- ma or Rosalinde, se le vent humide tes a peints. Les Len abords du du mariage 
gent;;comprends-tu, mère dun chantait si bien dans les alées | arbustes alentour dressentleur| k. se ; 48 
autre temps? L'argent! C'est- Eng : Ifront décidé et les pousses nais-' Ma-thère Rôse, bts À 
à-diré T. Moi, j'aurai l’ar-| . Viens que je te présente à $antes rougissent tout à coup.. | Tu touches à ln - instaine}.… j'ose | ZT 
gent efc’est moi qu le protége- eux. Ils vont te prendre par la|' Ne nous pressons pas-dé ju- |à peine y pénser, fsnt-cela me Lagrà 

Fai ri jour, ton François! riad et l'emmence à la balan- ger les gens sur leur faculté | lime semble.que, <'est la pemaine ddf: 


“vrai que je fusse d’un | £0 té. portais-à d'église 6t 


£ rire | niôre que. je 
“Na slloos vive, Mine: mous : EAN ap " 2 sas a, turdevenais ma filleule. ‘ Et: voifà. 
ne: ai rs eu pour l'argent | a ons vivre! : dans un seul coin de bois, qu 51 | dé vingt. ans! ue. à # 
le venable, un res-|.. Qu'est-ce. done. que. j'ai, à: ‘Done, après avoir ;-rétléehi, co 


fleurir ! 
L'hiver: n'a pas encage fui}suité, tu, ‘penses #éais-tu, à t'établin, 
a |ue, toutes ensemble, ra anèe L'affaire mérite éñ éflet réflexion 
mones sylvies étalent daps les | # Solicites-nes conseils. 
forêts leür blanc tapis lé, le 
Hong des sentiers, d'un Feston 
de violettes. 


raconter ma vieille hi 
Il n'y a pas d'histoire. ir 
plus de grand'mère, ft: 
petite fille: qui éntre : , le 
monde, qi 

re monde l'attend et fui sou- 
ri 

Cornme la vie sefa bellé, Ali- 
ne, ma toute petite ! * 

Je voudrais bién voir qü'on 
te fasse dà chagrin! N’écoute 
point les discuses dé mauvaise 


qui ne vx pas jusqu'à la 
tion. J'aime l'argent sur- 
nd ec à le: donne. Il me 
gägne une vertu 
velés én passant de ma 
in dans celle du pauvre. 
Mais je-ne vois pas quelles joies 
mé révélerait une grosse fortu- 
né Je pourrais faire plus de 
bièn? Sans doute. Qui sait ce- 
pendant si je le ferais en pro- 
pottion de mes revenus, si. toûi 
,. cet or n’empiéterait pas sur cet- 
___te-abnégation,-queé jaime à pra 
tiquer, sur mon penchant vers 
une certaine aüstérité? N'est- 
ce pas une calamilé qu'une trop 
grosse forlune? Esi-ce qu'on 
Kat vraiment. la gouverner? 
est-ce pas elle au contraire, 
qui dirige nos gestes, nos opi- 
nions, nos jugements ct jusqu'a 
, notré humeur ienne? Je 
refsercie Dieu dé m'avoir épar- 
grié la charge rmeise de 
la; richesse, 
ean et Cécile. 


“Demandér. conseil, disait mon vieux 
curé, ne coûté: pas éher'À li jeurie filé; 
; Puis c’est le tour du tanfboi vit ellé y trouve ni Arisnus PES 
qui, au premier soleil, hothe ra conseils, s'ils tendènt à -bridér. 1e 
tête de plaisir. Le charme _et | coeur, dime, c'est-rare, sf ét ‘existe: 
le coudrier, laissent noncha:|HSin!-pas”flatteur; mon curé! 
Jlamment pendre leurs chaïons| Amon âge,"alors"que les fusions 
avéntpre. Tève vérs le ciél les d'or et d'argent. Le c tonibént et qu'une voit cläir dâhs 
“qui-sont de sa couleur. sauvage, au tronc lisse et som- jeu du msride, je suis.de l'avis de môà 
Marche, fours, saute, rebon- bre, se couronne d’un. grand|turé: et »i je consens à faire une ex 
dist {voile blanc. L’acacia réserve à |Ception, c'est pour toi, ms filleule. 
Comme tu robots bien! “{juin le chaud parfum de ses | AHe tort? Je'crains bien d'être aveu- 
Tu es ra fille, mon trésor, ma | lourdes rappes, tandis que le |é1ée par l'amout.… 
joie. Houleau hésite, paré seukément | Je süppose donc qüe 4u: n'as pas agi 
Oni; mainteñart, reviens vers dé-son tronc argenté, et que le à la légère ét äd'en t'otientant vers le 
moi, assicds-loi sur. mes ge-|chêne, roi de ces licux, ne dai-pmariage, tu l'ihspires de motifs nobles 
noux, calme-toi entre mes bras, | gne pas seulement-sôrtir de-son | °t chrétiens. lever une famile sans 
au chaud de mon COEUr, parle-| majestueux engourdissement.- { chercher à entraver'les vues de Dieu, 
moi: 4 à des arbres qui-préfè- rendre ton mari heureux, soutenir sof 
#Grand” iière, “qui donc: ap- rent d'a bord se RUE de courage et le porter à la. piété, voilà 
Fprend la .rpusiq aux arbres”? fetüllés, pour r Jles])yue. faché"méritoire miais qüf‘su 
Grande ne _à} rend : fleurs à venir, co e mafï- une, haute dose de renoncement, da 
Aux oiscaux À 0 Et'Tes! ronier: Er, com traire, { our solide et d'esprit chrétien. 
fleurs, grand mère, pourquoi | | qui, avec-uné jolié cr 


é,of-| Les filles à tête légère ne volent pas 
ônt-elles châcure"leur pesto ffrent aux pi d'avril toute ! les défauts. de leur ämoureux on, 51 
[leur couleur? "Et qüand je sou- 


leur fortune de 1 ‘année ! elles les voient, elles comptènt sur le 
ris, grand’ mère, est-ce le Il n'y‘a qu’ un prininpe. inariâge pour les faire disparaitre. 
© [Die u Chaque être a le sien. Le mariage ne transformé pas, il lafs- 
re S - .… (QJuand-nous irons nous pro-|*° les-gens ce Qu'ils. étdlént Règle 
Parie, “parle encore, mener daus'le Midi, je te mon-|##nérale, le jeune homme traitesa sa 
Moi qui ne sais rien, presque trerai un aloës qui ne fléurit|f°mme comme il traitait sa mèré et 
tien, je Le dirai tout, car. ma que tous les cinq ans, maïs qus-|*®5 soeurs; et Madame séra pour son 
sciencé à moi c’est de l'aimer, sitôt, terrassé par un si long ef: | mart ce qu'elle était pour s6n pète et 
eétcèlæ suffit. ; [fart, ilse dessèche et l'on dirait |°°* frères. En se mariant, Mademol- 
Aimons-nous. 


qu'il mevrt. selle change de nom, mais garde ses 
bien..plus.riches que moi. Je Et puis, quand tu seras gran-| nya des plantes qui‘ne sont intlinations et ses défauts; Monsieur 
ne leg envie point. e, ne m'oublie pas tout à fait. L 


ne change ni de nom ni de caractère, 
. u’une fleur, d’autres, au con-| 
De son fauteuil, où ‘elle est Reviens me voir, te nfirer dans | ee doût Fe mé voit pes d'in: C'est bon à savoir et à méditer. 
maintenant confinée, ma vieille [mes yeux qui te connaissent Si { time épanouissement. Je suppose que ton prétendant est 
mäman les admire beaucoup. |Vien, qui lisent jusqu’au fond 


Si sfléchis-à I en état de se marier, qu'il sait écono- 
EL snl àes.vrais enfastis: dé toi: 1 je réfléchis à tous Les SENS | miser! Car l'amour est poétique, je 
r Ele-ne les voit guère, mdis| Et quand je ne serai plus 


que j'ai rencontrés au cours de |;2 éoncède, mais 11 ne nourrit pas et 
leur forune les éclaire. d’un si souviens-toi de moi, pour prier, | "2 vie, j'en ae à croire qu'il lies fournisseurs exigent. quelque chose 
beau jour qu'elle ne les per” |pour vivré, pour aîmer. + vs Se LL > gt tères il de môins vaporeux. Et toi-même, sais- 
jamais-de vue.- Elle veut avoir | : Car il fâudra aimer à tonl"°#Peces ce P a je ÿ- CMAT tu parfaitement tenir maison? . Une 
de leurs nouvelles et lorsqu’el- | tour. cun a sa manière de fieurir. jeune file ne devrait jamiats ouvrir la 
és manquent (is n'ouf guère Te | . Tu sauras très bien J'ai peut-être été injuste en: }porte à un prélendant avané de pos- 
temps d'éerire), j'iuvente de ‘'. EF: vers ma mère, énvers MON MaA- | séder une parfäité maîtrise des choses 
belles histoires toujoutrs en des- ri, envers mes enfants. Vais-je | du ménage: ear là-eompétence da 
sôus de la vérité. leur adresser le reproche dé ne cet art seit plus au boñhenr domes- 
C'est souvent par ‘saccades m'avoir pas connue, noi qui les | rique’ qu'ine” voix ‘cultivéé ‘et Que le 
que se ressemblent les généra- ai sans doute mäl compris ? fini du doigté sur les touches du piano. 
tions. 


Ton miari se lassera plus vite de ta 
Par-dessus la tête de ma mè- lors-| beauté que'de ton taleht culinaire: 
re, je tiens la main de mon cher 


‘dans |:on amour du foyer, ton tour de main 


ra \ 
pas pousser 
au fanatisme 


bon 
aussi qui me’ fait souri- 
C FRE F Aline: 
S89: re. SOR nt et pur 

gel @eé-qu'it veut”. Ta mère 
est x femme: d’un agent de 
change qui a page sa chargé 
de son père, - Ils sont riches, 


Maïs quel est cet enthousias- 
me qui m'égare? N'est-ce pas 
de F“ombre” de ma vie que tu 
m'as dernandé de te parler? 

Quand fu'°es pèrs de moi 
l’oxbre n'existe plus, il n'y a 
|que le, soleil, la joie et l'espé 


Ma' chère petite Aline, 
qué tu me vois plongée * 


gra ..êt par-dessus celle | rance. mon ombre”, ce nest pas à: moi | à rendre’le logis attrayant charmeront 
de € je tends La main à mi! .Elbigne-tôi ui peu que je ter- 11€ je songe ni à mes jours |ynlès ton mari que l'élégance de’ tes 
Aline. . [mine de “gribouillèr mes peti-| ma'heureux, c'est à tous les |tofettés, la richense de tes fourrures 
. …. tes” pensées” sur le vieux regis- mic ns NÉ je n'ai pas tr et la va?Tté de tes relations. . Le-bon- 
joi mme ent voulu. beur famillal et le succès fepéserit | Ce 

La p ande joie quedtre de mon grand-père. de 2e aûraien 
m'ait proeurée 8 à maman, c'est} ” Me voiéi dans mon île, au mi- Né me plains pas, Aline, !|ävañt tout sur l'esprit d'économfé àt 


puisque je ne le mérite point. 


le savoir faite des fémmes. Les têt#s 
Mais aimemoi, aime-moi! 


folles ne s’ ère à ces. à 
dérations prosaïques; elles vivent de 
chimèrés et oublient ‘de préparer lés 


licu de mes bois. Nous ne soni- 
mes qu'au commiencement d’4- 
vril, mais la saison est en av 
ces Avr Æmhée, 

"Quand le soleil se cathe, le 


de me paniee a menue per- 


que deux | 
“m'ihvile à ve 
prendre “avec une Ps Rat rer À 


FIN 


r te 


A beau voyage Fa, fs au rc-! bois, où dominent encore les Aucun homme ni aucune! Je-n6 16 <lasce pas dpi Jeur 
il Ton père, qui ne |rameaux en habits d'hiver, ne | femme ne devrait souffrir des |"aus; mais m'intéresse assez à tm | 
r« ae” — sauf de sa! ferme qu'une masse acte, cors lorsqu'un s0 ment si what répétér: SES 
fille, — nous avait retenu ün|ferniée aù/regard. si le ,certain est à sa disposition avec |F#féchts 3 


it. 1! était en avant du | moindre rayon "trave cn nue “Hollow éd ’s Corn : Tu verras que ts" marraine a “sd 


er”. 


grande dame d'une histoire bien éonnue qui, mieux mourir 
. 0 vou, eg ang 
par une jounée bien froide de l'hiver, trouva er “connu les’ ‘doucéürs du bien-être, pensez 

religieux fransis de froid et aussitôt sori cocitr!. cétte vie pauvre. Ares 


-Te“snis bien æ-quot: je- wesedi |! 


fondements -de leur boñtieur "domiesti. |‘ 
tes 


‘| sur le bras; 1 y « bien d'autres sche 1 
teurs 


res : V3 


‘encorét 
, | Sans “compte aux qui ee a: 
< flat dd 


Mie 


que pour écrire, Je te |f du bois œissitét qu'elle sérüit à la maison, Mats:' Se contenter is eu Ées dE Dir api} Celle es Rp Vies 
Fo les quelques minutes qui ar ho jusdu’à te À pôar la volonté! Et ke parole |: nt 
u Fa | 0" retour chez elle dimin on ardeur, : d “Seighéur: “Hébreux les pduvres"| 
étre conn , 4 mes oi-|e* trouvant son “hoine” confortable. elle se n'est pas assez Lane. Dour éontrel iañcer 
fière Front ML. Es ‘[sehux, des bêles de la ferme. | dif: “Après Tont, il'ne fait päs si froid; je vais mire du “Présent 


ce le béhe sac: e ” |: Sôn premier soin; en prenant bosses. - 
GERTRUDE: ©: [sion de son poste, na été de faire âtf- | 
cher’ dans'tous les bureaux cet : 


[ne 


{ 


ù ic “He buréaur saut silencieux. - nt 
Faurera-tn? Se 
gg — 


Les sourds au théatre 
Les sourds, aux Btate-Unts du moine, | 


Le <$ 


| CE 


h 
4 PERS es ha 


“Maladie dela à 
TS F'avais dû « qui 


1 Me Themes Money, de 


pär: jour et em re -quantité; ‘et. 
RARE doit Etre finement liachée! |E° 

+ Me 12° 14 régéhier# #64 ue 
tion n6 1 appürtiént di démattre de: la 
théologie et je vos conseillé" de con 
sulter votrè côtifesséur: *Tüatit . qu'à 
tré, gai toujours entendu dire, et 
l'expérience 14 prouvé! tous: Tes: jours, 
qu'avec dé la patiehce on viéht à bout 
de tout. 

LISA —- Les légumes, pour être, à 
gestibles, doivent. être bien cuits et 
bien écrasés, car l'enveloppe ah re- 
couvre uñ grand nombre d'entre et 
“ésts indigestible. Le pois,-par exéñi- 
ple, est un légume: très nutritif, mais 
son envéloppe est indigéstible -et fl: 
arrife: souvent,|-surtout chez-les en- 
fants, Qu'il provoque des troublés-4’in ; 
testins. ‘La pomme de terre, qui joue 
un rôle si important dans le meni de 
fainille, est un légume qui rasshsie 
facilement mais qui n'a pas les qualit 
t6# noùrrissantes de {a fève. Les len- 
tilles, qui commencent à fe faire uñé 
réputation dans notre pays, rônfér: 
“ment üñé grande quantité de fet- etig 
pour céla sont un excellent aliment 
pour les personües fables et anémi 
ques... 7 *. 

PETITE JEANNE — ‘“Bagdad' n'ex- 
iste pas seulement dans les contes fée- | 
riques, mais elle est la capitale de la 
province du même nom dans le # 
est de la Turquie d'Asie. La ville 
tière est entourée d'un mur: de ciiq 


milles de circonférence pe de 40 pieds D RUE EMA: RM 


de haut. 


ALICE L. — Vous pouvez vous pro- || ; 4 
curér les sonates de Bethoven en un: == . ; 7. ES ns 
seul cahier ou bien les" acheter sépa- EE FFE mins , ESS + 4 


[Pendant Année cg à pr 


SRRALINPORAETE. EN 
ne PO MOSS € BC Be FEMOET 


égale preèqus le menten: de toute la 
collection. : 

MERE-GRAND 
2" 220 -2— — 


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Ge peinture, de vaisselle, etc. — 129: 
131, avenue Proveñcher. 


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Justin %4--11 racinea de ‘de rhubèr- 
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TE) 


HAN ! | Fra TE EE 


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ti à SE) D 2 PR CS | Kg 
op LE if 1 . fie } jp OPE PAIE Ho +4 MI 
ii tt Ï lil os shsltefie els 1 Ë F 
r pu des EAP gt DrMRns l LES 
L 
11 j 


Je répondent à ven lettres en francais 


ee de x 0 
FRA RANK 


Tout ancien officier 


TE 
Hu 


Dour 
Œarantis 
bétail 
Et 
m'envoyes ces fourrures directement. ". 


a 
ITR 
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Baie 
se 
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Betette. 


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leur dit: 
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de marine 
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R, représentant 
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10 fév. 11 fév. 


à la semence 
JRSALES: 


Mardi: 


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MAL MERCIER, rente 
À du Grain de Semence, 
pour là semaine finissant le 16 février 192 


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en avoir. 


ecine souveraine — 


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niface. 
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vite à.9e. 
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souris, des oeufs d'oiscaux 


Hs “dibent 


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JE LT #55 tir h "1 HAE RIT, | 15 CURtaienit ss FE 
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His AT HEn il ri 1 HF lies ë : n & a 
sl HR si  ' 11 qi ROUE | 
tu Fo sit HI lu $ 4: ai nr se LLERS 
AAA à à 
nt ; %: c HR | | 


On s'oééuige d'avoir un éléraisur di du 

“Wheet Fotf”. pour Prince-Albert. 

1ù 48.00 14 sv 10e ox 
page E7] pre” 


Lt 


(°) tr 
MR E 


" Dédloctélis lbérate libérale de Docu Lake 


a éffert un bänquet # f'hén, Dé Ukrich, 


FE mp des Alliés, le 7 février, 
Re me 
sr gare par: 


‘Association et une nombreu- 
se. pi” an gs ge citoyens. Des éom- 
pliments T düs à l'hôtel des Aillés 
4 T'excellent miénu servi au ban- 


Pré adresse fut présentée par M. 
M4. président de l'associa- 
tion 1j L'hon. Dr Uhrich pro- 
noñça, u9ë , Bloquente' allocution. fai- 
sant ressortir les difficultés qu'a à sur- 
monter: le commissaire des liqueurs 


an kde faire aucune déclara- 
Nr ÿ 49 l'inauguration 

orateurs orateurs ont été WE. 

Er he gp T' Gervais. -, Inutile. de 
qe fut,up banquet à ja fran- 
éay4.par des chants LE dt 

.…. ‘ 
Ra rétiléourbté “aû Labledir: fut que 
lefänfitations n'avaient pas été ass 
nombreuses. . Combien plus des amis 


du Dr Uhrich se AS ras fait un plal- 


et ne 


sir d'aéstétor Tepäs en sa com. 
pagniéT édier à cette la- 
cuve, tou paroisse fut convoquée 
par M: le cufé pour le lendemain soir, 
dttmanthe, à l'école Stobart, À une par: 
tie de’ “whist” à laquelle notre grand 


* ami a bien voulu assister. cette oeuvre; M. l'organisateur invite 
Serait-ce trop dire que d'affirmer . habitants de Duck-Lake'à ne pas 


cette sotrée fut la plus belle sensation 
qui eût jamais” liôu à Duck Lake; par 
la si grande assistante {là salle étant 
trop étroite pour tous); par l'entrain 
et süftôut par la joute d'éloquence en 
tre nôtre orateur à noûs' —- j'ai dit M. 
le curé — et le Dr Uhrich. L'espace 
manque pour dénner même ün-résumé 
de ces deux belles allocutians. 

. Lorsque, &e basant sur la haute va 
leür, les précieuses qualités politiques 
religieuses et An-citepetlabpioié es: 


qu'à sédour par notre député À Rägt-} 


ha, Mile curé faisaitite voëh el éans 
doute même la prédiction que ‘notre 
représentant actuel à Régina change 
de champ d'action” et, loujours plus 
haut, “soit envoyé par nous à Ottawa 
M; 8 êâré, dis-je, avait là souviction 
qu'if bé” ratiuit l'interprète 1 lion seule 
ment de nous tous présents mais de 
tous les nombreux’ amis. et admira 
teurs du Dr Uhrieh. 

Qui! le Dr Uhrich,a déjà un beau 


= ———— 


gl 


er ‘qui régularisent leur or- 


Il ne suit pas de 
Wañgef pour être bien 


Votre table peut être chargée 
de-mets pe à une s et qui se 
digèrent bien--et. cependant 
vous ne prenez pas de forces. 
Quelle en.est;la cause? Le foie 
est lourd, l'estomac est sur- 
chargé, les’ iüleslins sont parcs- 
seux. Les Pilules : du docteur 
Hèmilton! voüs soulageront ra- 
p ht: Blles rendent forts 
les gens malades parce qu'elles 
libèrent l'érganisme de toutes 
leg .impurotés -qu'il contient. 


5 ed les Pilules du doc- 
tepr Hamilton ne souffrent pas 
ir Homo e constipation: 
ils se sentent vigoureux parce 
que ne organisme fonctionne 
très bien.” Pour revitaliser et 
stimuler, tout votre organisme 
pour secouer. votre léthargie et 
ue fatigue, rien ne vaut les 
les du docteur Hamilton. 

es vous. donneront certaine- 
méêht de l'entrain, une belle ap- 
parence et une hgnpe santé. 
us chez tous les marchands 


É ‘a Gatarrhozone Co., Mont- 
r per af 'y 
‘ < din DU ACER 


\ 


+ 


#7; Le A | 


+ : * a : v À £ . Por: LS AS : “ Y Le TS : 
a te ne dotation once nant ai Latine diem testeur 4 agen tas came monarque mages 2 ee gl et tn ati nat emnutne mndininnn mens — 


| de récréations des garsonis et des fi- 


Ki at AS Jo RCE, La. F5 ave. 56 Ch A 


tr 


un page ar LE 


entr cias L'" 


les, chacune de 40 x 62 pieds, avec 
cabinets de toilette et cabinets à dou- 


vonduire dans la blanchisserie. 

L'r rez-de-chaussée renferme quatre 
salles de classe, deux chambres de 
cottere, sept chambres à coucher, le 
aureiu dé la surintendant, de partotr, 
eté;: Lé Chapelle, qui se trouve égale- 
at at ‘rez-de-chaussée, :# 30° x 62 
Didds.": 

Au prémier étage el aü.second sont 
situés les dortoirs, l'infirmerie, la salle 
de communauté des sôeurs, etc. Les 
escaliers sont ous à l'épreuve du feu. 

La construction a -coûté $150,000. 
Dans ce nouveau local, les Pères 
Oblats ‘et les Soeurs Grises vont se 
trouver mieux én mesure de var 
l'oeuvre de l'éducation des petits 
diens, à laquelle fls se dévouent 
puis de longues années avec le sèle 


et le succès que fon sait. 
. 


Lé 6 tévriér tüne assemblée dé la 
Croix Rouge, convoquée par :M. FA. 
Maïrihäit, Hgdniiatour régiônat, de té: 
nait à l'hôtel de ville, sous PA préut- 
defite" a °° Pr: Delhas, OM, avec 
M."J A: ‘Dionhe Comte secrétaire. : 

.: Eh fFançais d'abord, püis en anglais, 
M. l'organisateur, personne bien Syin- 
pathique d'ailleurs;sft l'historique de 
cette oguvre philanthropique, née. dx 
rant là guerre des besoins pressänté 
d'alors, et qui poursuit sûn beau:tra- 
vail en’temps de paix, en soulageant 
téutes les misères-dignes d'intérêt. 
Durent : la guerre, la, population : dé 
Duck Lake s'est mise à-un rang à 
part par sa grandé générosité pour 


la laisser périciiter. 


Après quelques paroles de remer- 
ciements à l’adresse de M: :Mashall et 
d'encouragement à toutes les person- 
nes présentes, M. le président tempo- 
raire procéda à l'élection d'un comité 
de réorganisation. 

M. l'abbé Morin, curé de la paroisse. 
Rév. J.-B. 


est meet: À président; le 
i Fi. 


Bunting, ce-président ; 
Campbell secrétaire. 


À uné assemblée ultériente, ces off. 
ciérs doivent se choisir un comité de 
direction, ce beau rôle de dévouement, 
revenant naturellement aux dames qui, 
certainement, ne voudront pas démé- 
riter de leurs devancières durant la 


Mme 


VAL MARIE 


Depuis une quinzaine de jours nous 
jouissons d'une température idéale: 
.la- neige est presque toute disparue, 
les ruisseaux et la rivière coulent, ce 
que l'on n'avait jamais vu à cette sai- 
son. Les férmiers en profitent pour 
finir de charroyer leur blé et, les ha- 
bitants du village pour améliorer leurs 
bâtisses ou en faire de nouvelles, M. 
Chicouane termine son installation 
comme boucher. 


L 1 a D Le 

La semuine dernière, M. le Dr Per- 
reault, de Willow Bunch, ést venu avec 
M. Lebel visiter la place avant dé ve 
nir s'établir parmi nous 

L1 . e 

M, Emile Paradis a acheté le quart. 

de section de M. Aristide Nadeau. 
Li L 4 L] 

C'est Je moment, par le temps qu'il 
tait ici, de profiter de venir voir les 
férmes de ceux qui sont partis à cause 
que le chemin de fer tardalt trop à 
venir. Il est aussi presque officielle. 
ment certain que de bonñes terres jus- 


ue vaste 
qu'ici oceupées par des “ranchers" re À sale, seront alimentés par re : 
vont s'ouvrir comme ‘“homesteads" Le gui leur am amènern l'eau de la 


pour des fermiers ou fils de fermiers 
séulement. Avis en sera donné à 
temps à ceux qui veulent venir ren- 
forcer notre grouje, car nous voulons 
arriver à avoir le moyen de vivre par 
nous-mêmes aussitôt que possible. 
L] . L1 

L'eau manquant pêr ailleurs sur la 
ligne qui aboutit À Val Märie, le C.P.R. 
améliore ici soë réservoir à eau où il 
est assuré de n'en pas manquer 


= 


| LEUR ARS EN 7 


= httrh. 


a ———_——_— —————_—— ——— ——_—_—_— — ——— ——— ———— — ——— 


Mércredr lé 4 février à eu iiéé 1à 
swmblée du conseil municipal de Car 
tiér pour engager un officier de santé. 
Après un long débat où les üroits des 
électeurs de langue française ont été 
si bien défendus par_les conseillers 
C-B., Franklin, "m, Lynéh et A. Béau- 
dry, on'a faÿorisé deux étrangers, les 
trois autres étant, en faveur de. deux 
médecins anglais et protestants 
Comme le vôte décisif avait été laissé 
au maire, M. J-S. Picaïd, de Saïnt- 
Eustache, nous éspérions qu'il aurait 
pitié peut-être de ses électeurs. Mais 
il'a voté ‘pour Ja motion anglaise. 
Nous avions âuparavænt comme off 
De nôtres qui, mäl- 
1 HTERAE trouve (d'atl- 
leurs qui est parfait aux yeux du pu: 
blic?} avait À coeur les droits du pau- 
ivre et de tous les électeurs. Mais 
“chMime ce pauvredocteur. était tombé 
en disgrâce gg des .aütorifés,-on 
l'a mis dehors. 


} Ni 0 ganseill say et Monk- 
ise Nous | ere + | üne leçon de pa- 


dtisme at Los dE et  Bous les félici- 
wi de pa ur” "Au conseiller 
C.:B: Franklin tous devons doublé lou- 


ange; car quoique Anglais et protes- 
tant, cet homme impartial a su s'ou 


bien-être de ses électeurs êt il a voté 
avec les conseillers T. Lynch et A. 
Beaudry. A ces deux dertiers nous 


deyons un gros merci. 1l est vrai que 
la satisfaction d’avoir accompli leur 


recouverie en 
toutes sortes de salle salles Ÿ 


pe d'aes PA 


de tous ceux qui visiteront V 


” ee 


Ya: À Ne D Ju 


‘rent: pour les-hommes, Meerschand. 


* FNap. Callewaert, prix de consolation. 
\ Pour” les dames: Anésie Boni 


| de vaisselles à dessert, ‘gon de l'orga 
| nisatrice de la soirée, à 6té gagné 


Pt fLoafEredo du Paysan, 


blier jui-mêmeo pour ne _pènser qu'au 


Victoria sera à dotée d'un ‘superbe Palais de Cristal 2 


rendent durant toutes les stisont, un,‘ 
câsino comme il ne s'en trouve sûre- 
ment pas beaucoup en Amérique. Ce 
EtEA Une vaste es toute 


ts, 
une piscine de natation géante, 
bains 


Four ed ame) un 
ll s'y trouvera en- 
core un spacieux et diverses 
autres attractions qui feront de ce 
casino le rendez-vous de prédilection 


ictoris. 
LI ra connu sous le nom de “Crystal 
Garders"” et s'élèvera à proximité du 


Er pr mg apr PE vec ner | | put d 
le la v ne encore : À ‘ be 

Pacifique Canadi HE , | 

dr es grandi entres et Le use es | jo de VA Re = po et ire k 
villég/atures agada. genteen Europe, sera à une nou- æroat f 
FR MESSE Slt . 


ÿ 

pont dust: à het 
à mme 4 @ 2. 
Le dE. 3 4 


l'utile; à l'agréable.: J1 y avait juste. |. 

ment assez de bonnes gens pour faire 

un süccès honorable de la veillée.. s 
Lés heureux gagnants aux cartes fu-|. 


der. prix; Marius Roche, 2me, prix: Sauf pour les vas Fos à 4 GS 
vient de la’ ruptüre 

jambe, Îles médecins attribud t Fra 
prix; Mme Josephat Bonin, 2me prix: néralement ta cause de cette ape 
Mme Marius Roche, prix de j 


“Le-servicé 46-tüble, Collection 


fm 
nu: 


s “ton où À 
iu: ;t 00 6 


CES v 
; ph set. 
*! 


À de faire à l'Académie de médectne, 

à Calot, de Berck, montre que, dans 

la plupart des ‘c4s, cette manière de nt à 

Lin est erronée 1] 4 pa mettre en Sr + oct ce 
dents qué, Wir 1,000 persontés, wné | } Le chemin de ter d 

r { petite ahomälie ne 


trétäine environ: naissent avec. une et Iranton, 
me ou d'ajustage — des deux surfaces 


irrégularité dé for- ak 
articulaires de la hanche. De ce fait, 
la hanche est ‘moins solidé; et s'il | 
vient à se produire un-effort, une chu- 
te, une maladie, la détectuosité s6 tra: 
duit per des douleurs ou des boitéries. 
La rupture d'équilibre peut se produire 
de bonne heure, c'est-à-dire dans les 
prémières' années de l'existence, ou 
bien Seulement à 20, 30, 50 ans, C'est 
in raison pour laquelle on d'Avait pas 
drS- eu l'idée de faire remonter la éaüse 
11 est probable que l# prochaine par- |.4e és troubles à ue origine soude 
tie de cartes ñe . era |Vèrs le & nitalé: 
mars. Dès que la boñné dame ‘qui #. OéRce tt ‘roéiérénes” 
voudra amer. l'option d'une crues et rüdioté ad 


… 


Maitrise Je mal de ee 
gorge en peu. d de temps |" 
le ar 2 ur rhtemmes-Vérieux ‘vous 
étreint” la gorge, Nr L vous -fait 
tousser ou.p es c'est 
le témps'#’ da Snitaueh 1 2 vlellle 
“Nerviline”. Ce ertailioen liniment 
pénètre tous les tissus et va jusqu'au 
coeur même de Ia païtie malade, Les 
effets qui dérivent de l'usage de. Ner- 
viline sont extraordinaires, et pour un 
mal de gorge, tne oppressien de pol- 
trine où un mauvais rhume, aucun re- 
mède-mrest- aussi efficace. Cinq fois 
plus fort que tout autre linimert, et 
doué ‘d'une nuissatice merveilleuse 
pour maîtriser toûte douleur, Nervilisé 
est nécessaire düns toute famille, 
Achetezen une bouteille de 35 sous 
sujopre hui. 


er Jean-Baptisie, Depis. 

Les chanvons de la : soirée turenti A À 
pbr se 
Denis: ‘La Berctuse'de Jocélyri, 
Jeanne Jacob; “The Kind Words”; 
Marguerite Lipton: “ivresse spy 
par Irène Ramsay et Eola Roy; “Au 
clair de la lühe”, par Julien Lambillot 
te. M. Ben Vah Malsep!a fait les frais 
du comique en faisant du vieux et du 
nouveai, : 11 faut dire qu'il y. avait 
aussi'sur le théâtre ti instrument fort 
curieux qui a. causé le fou riré À blen 
dù monde! c'était? cé! du ‘on D ar 
“The funny gamergut à d* 

V Le résuitat nét: dé ta: dire a 'ête 
945.00. ‘Grand merci à tous!. 


CLAIR AE. de 


Mais, parfaltement!;ày a.un moyen |, 
de ne pas avoir la grippps«æaest, d'aller | 
vivre aux environs du, cerele : aoinire 
Demandez aux explorateurs de 'arc 
tique et ce l'antarctique, Shecok 
Scott, Shackieton, Amundseh ont cons- 
taté que, aux cours des expéditions, 
nt-eux-nt 1éürs (compagnons n'avaient 
attrapé le moindre rhume. La grippe 
ent un mAnl des pays habités et clvili- 
sés. - C'est une affaire de contagion. 
11.7 a, au nord de l'Ecosse, un grou- 
re d'iles, les Hébrides, dont la plus ù 


PAR L 


m. PHILIAS LERLANC, 
ennrves d. 


1e sal d des és rnE 


mes ee cye PEN sant ? 
de- remèdes. 


Lés Pilules More sont pot 
pts tn HU pl ta rt 
sous lé boîte. 


L COMPAGRIE MÉDICALE ee | 
EUROPE 


À L'ELITE saraonque 
ne LEA 


urs mieux corbatre le. 
je de Pilules, Moro 
| teront-bien des s6 


CR ttes 
ET M 


“pa SA hi A: à 


Le Gross Trayel Bureau, 653, Bramson 
votre attention sur Ce .qui M: #1 


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ee née, 1e He 


muite. era veit ET to Ami points ER 


Heu ave y veyaus wmoviémemstre de 0 10e vév--00 
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Nous -svons un voyage en Allemagne de 70 


Le prermièr qu (72 7N est le 14 
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A coquette capitale de ls C: me le la balance le er et te 1or mal Roue 
L'on Menitt pour FR 1 Ponte P PÉate M AM E 
l'amuserent su tion, ant role sont très indépendantes. 1 y #. raisoes 
que des visiteurs qui s'y aucun L ne devrait manguer cette 


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L ront jamais la vie comme Le fe- pur Je es attente montagn ag mtagne des fau- amie scan Fm pi. que es æ Pr Mage ça À Da «1 4 
: es d'attention, paraît-f, car j'ai! clara “elle , 
#4 se ui Li ET |. Se J'ai domendé: ‘une expica te vieille inür- l'orthographe om Ta je un‘beau matin, qu ne rent aux'orcilles, pagnées :. 
3 est Bien di Font ce quel lion, “H1 parait que “mener la ah e vieuie tar #90 1" Léis ma grammaire. J'écris dé| cours à mois Gran ne Mi ann On Pe à 
de + he à du Gates À à vie” c'est aller au cercle, ‘aimer UR doté once rès, con choses tonnantes, peu respec- pense line Be ra _. Faire volte-face, fondre, d'un * 
. : |dences de nr tueuses, gl Je ne garçon. Refus de Mère au | bond dec importientés, die: 
La belle affaire! Chacun mé-|  __ [a sonnette de Madame ne pas termes: gg dine. pe dat 4 de droite” 2e res 
ne la vie selon ses et “grelette” plus bien. Madame tent souvent le parço J'av a+ pétea/arg <A ; [einq-ou si souffiets t : 
Rad rté Pix u. Mes |ne-s'em doute et ça lui fe- bonheur!). Mais hace vs à t Tiélas! on ke 
: [fois une ke tolodon Fe cassant ont raison del rait peine de la changer. Je beaucoup Re une me pour ju ia er «304 ee aie] mu, DES Lis Ces 
# cinq fasses tasses, ndis qu’elle cher- fair per tes Ft + caf vais acheter un Scarnel mous: pre nde à l'analyse, Pr M “nes réamie prflerparn h tant de É 
, vaut mieux de 1 an ai tique” comu:e celui de M. le cu- pe que. cs ant, vu mon | 1e mère cris, ni tant de larm 
ne fe ille d'or d'oranber ou de la bou! Los ré, pour mieux entendre quand ee, na re ru, " 


pe que ai foi mes on cie m'appelle. 


Nous différons du tout au 


rand'mère ne Ja pas 


sa t . à : " 
LE Non! NL y'e erioure les de. |; C°Ue baie de cheveux blanesi ee ren ve rl chouc si on m'avait laissé faire. 


Elle sait bien qu’a- 
Qu'il doit faire cn-|tout. Mireille aime l'étude, la |mestiques de grand’mère, pres- Oh! ! 1! C Le lait, les eaux | 
4 vs jamais! jamais! C'est ul. 
dre Barnes : d'étudic parce qu'il le que des parents, {ous ces vieux- pe a gg ae métier -de cul-de-jatte. Si je 
oire sainle lecture là; puis, mon amour de Four-, mes parents pe ar sous voir, dois, un jour, gagner-ma vie, je 


me ferai écuyère d cirque, 
rhumatismes comme grand'-|. A ka cuisine, Gofhe, inabor- |" qu'il Y à, par xp Na mousse, sen de bar 


mère. Mireille a dable. à l’ - [invité à Montilleul, on renforce je ne 
can 4 pau” À te jours + res = re la vieille garde d’un bataïllon us A rourbille rémue, N'est- 
= les aiguilles. Mireille craint la | bomme à moitié, car cHe à dc de_mobiles, composé de” «ing 4 2 Bou, bou. Oui oui. 

pluie, le soleil, le vent, le froid, | menton plein. de barbe: grin- | "Yeux et nièces de Tous ces vé- , 


danser... au dit, 
A la suite de cet incident, 
aussitôt qu'une dame parlait de 
ma sottise, une auirce s'empres- 
sait d'ajouter quelqués mots 
ue” ma je pense Li A 
Non, je n'étais pas. an- 
Mais j'avais dns, da tête 
Trop aujourd’hui encore) 


à mon appétit, on finit par me 
donner de la soupe. 
n'arrivait pas assez vite..je cri- 
ais à la fois de faim et de wolè- 
re, car j'étais fort méchante à 
cet âge, et je possédais, au dé-|t 
sespoir de foisire, des. pou- 


: sans. hs ‘élaitpes elle passerait la journée entière | che térans.. Oht-les:pauvres mobi-| ‘Allons, pd 54 à ma nais-| mons __— une provision de grains de fo- 
: A arche, | JE Ÿe sie | sur un fauteuil; je trouve déli- rm D rer mais bonne, les! = faut Ia bonté, la géné-|sance: grand'mère dit que j’au-| A° cinq ans, j D LL SA Ré à] lie PA je semais par rl 
devais pis servir de cé mt, |cieux d'être arrosée,  #eéouée.|feu, l'huile bouillante, dans rosité de gramd'nère pour ser-|rais dû commencer par là. Pau- | un cotosse soprès de Mireille “ sement sur ma. route. 

a n'importe pôur faire plai- | "+" 4e, calmants, d'emplâtres | vre grähd'mère! A son âge, on]de Bérnard, de jus delrenis, très ‘calmes, habitués 


sur lés horions très variés qu'ils procède par ordre: mais, au 
reçoivent pendänt ces corvées | mien!” Au mien, on fait comme 
se à Pr vu -4 nd Fous qui gambade au petit bon- 

j out, esi Téroce oucher à ses|heur dans À , 
Mauvaise santé se traitent avantageu- ins En casseroles amène des rugisse-|v’est bon Tee be dur re 
choses étonnantes: bonnets à ments; s'approcher du four-|même, pas une bride sut le cou, 

isses: € .[meau- est une déclaration de|rien qu'une crinière 

guerre; prendre un ingrédient | secoue la brise de la forêt. 
niche des chiens, assisé entre 


see à par r emploi a 
7 a 3 + à manches de capuci ta- 
; À lons qui dctndeet Cr League né 36 ést la guerre mr à Je suis née à minuit (c'est ce 
dr L bottines. Je coupe l'excès de, PuIe S0n AOTreur, avec Sour-|que Ton appelle voir 1e\jour), | Milord et np et barbotant 
! longueur, €t Julie ne décolère ux dans l’'énor- 
L . [pas sur .le> rapetissement des |) 
lon, il faut que je dise deux terriblement au dehors. Cette |chaque matin. Je trouvais cela 
peu banal qui fait mon 
vait lui-même donné des re- sa nombreuse famille. bord, elle est Anglaise : premié- avait décidé, en famillè, qu sil Eve, et me sens un faible pour 
les Pilules Rouges furentce- . |°t le cadet ne vaut guëre mieux, 


flets en guise dè coups de feu... oui, à minuit, pendant que Îc|à quimieux mi 
! vla d’ aûüjourd’ hui. 
np our les Fe emmes P âles et Faibles mois -de Miss, bien que, sans | Pourräsque n'était rien, paraît- lilélicieux, et si amusant! Puis, 
+ type ! f conteste, je lui préfère Tour- 
M. bonheur comme je fais le sien |billon. Miss est pourtant très | "9 arrivée. : plus attrayant que ce qui est 
mèdes ; j'en avais pris-d’au- - | “Ah! mam'zelle Géva; mon|re raison d'ahtipathie; deuxié- fallait un garçon. D'abord, Ber-| elle, bien qu'elle soit caûse de 
2 | lui qui m'a le mieux réussi. CH Perd 0e GRR, 39' ne 20 


aussi à la tranquillité de Ber- 
nard et de Mireille, ne compre- 
paient pas, pe fre rer pas 
ma nature vif-argent. Toujours 
grondée, toujours punie, je re- 
cevais peu de è caresses; en rer 
ce -peu 
et je sentais parfois un besoin 
inouï d’affection, de tendres pa- 
roles, une vraie fringale de bai- 
sers. : 

Bref, mon enfance n'a pas : 
été heureuse. Sur les douze 
mois de l'année, un seul me fai- 
sait goûter une joie sans mé- 
lange, celui que je passais à 
Montilleul, a da chaude at- 
mosphère d’indulgence et d'a- 
ur dont m'entourait greng- 


viande, d’huilé de foie -de mo- 
rue, d’iodure de-fer. ; Æchaquè 
repas, .c'étaient des supplica- 
tions, des prômesses, des lar- 
mes, pour leur. faire avaler une 
bouchée, tandis que, malgré 

-surveiHance-sévère;-on: 
trouvait fréquemment vers Ja 


sir à mère et à sa * 
tité pr | à grand , 

A la lingerie, Julie, si vieille 
qu'elle raecommode à côté des 


; | ai sang pauvrè— les n : débilestne 


——— ——û — 


Depuis que, sur mes traits 
d'enfant, elle avait cru hd 
une ressemblance avec grand- 
père j'étais devenue sapréféréc. 
Sans qe me l'eût. jamais 
“dit, je pais fort " 
et lui rendais sa La ane avec 
une passion folle. Puis. déjà, 
jai is tant Montilleull, C’é- 
espace, J'air, la liberté de 

crier, de courir, de dire tout ce 
qui/me passait par Aa tête ct 
par le coeur, C'était aussi le 
Charme mystérieux qui s'atta- 
che aux vieilles demeures plei- 
nes de recoïns étranges, cf- 
frayants, : 

ontilieul date du ‘scizième 
siècle. 11 a un petit air de chà- 
teau seulement par les tourelles 
qui le pu 4 ent aux extrémi- 
tés; et Pres uit serait lui, 
si, dù haut en bas de son im- 
mense façade, un enchevêtre- 
ment de lierre, de LONCrS, æ 
lématites, de chévrefe 
faisait de lui une vorbe lle de 
fleurs aux nuances les plus va- 
riées, une cassoletle aux 
fums les plus doux, une volière 
aux pres les plus ravissants, 
car il y a des centaines de’ nids 
au ieu de tous ces rameaux. 
. (A suivre) 


pas ensemble, suivant l’expres- blait Toujours de le perdre;| Hélas! on me défendait bien 
sion de Sidoine, Elle “corde” |Puis, et surtout, Mlle Aurorc|des choses! Exubérante de 
avec Mireille, aussi froide aus. du Vésian du Hautpas, vieille | vie,. il me fallait du mouve- 
it un Alenl, pour ap vou-|ment, des jeux bruyants, dé 

eul Era l'appeler | Fair. ‘Tandis que Bernard li- 


Avant de parler de: Tourbil- | Yent et la pluie se querellaient | me écuelle qu’on leur portait 
Au jardin, 1e père Eusébe, un 
il, à côté de celle causée. par | c'était défendu, ct qu'y a#-il de 
ménter mes forces; il m'a  |en écoutant ses doléances sur | savante, très bonne: mais, d’a-| Depuis de :longs mo is, on | défendu ? J'ai toujours compris 
tres aussietaitrouvé que |grand fils Bégonia est malade, |me raison: nous ne “cordons” nard étant maladif, on trem-|nos malheurs. 
Une vieille parente me les pberculose, a s'en va de ces vi- 


laines maladies d'à présent. 
avait recommandées et je Mais ma nièce Clématite gran- 
l’en-remercie”. Mime Patrice -| dit: il-lui pousse des boutons. 
Cormier, 150, Parker, Gar- Savez-vous ce qu'elle vouleit 
dener, Mo e cette effrontée?. Voir le soleil! 
_ Ah! la jeunésse!.. Je l’ai mise 
“J'ai employé les Pilules  |cuntre lemur du pavillon, et In 
Rouges et je n'en saurais voilà qui dresse ia tête, comme 
dire trop de bien. Elles ont®_ [Patins j'ai enterré un vid’ 
eat ve rer qui m ee oncle, l'ocillet Paul, que. vous 
ait depuis des mois, ont aimiez (ant. Un mulot avait 
fortifié mes nerfs, tonifñié  lrongé son picd,.cric, crac, en 
“Mr 3e et ga cesser se Jeune: ra bête!” etc. 
es ements, gouñle- rie, Sidoine, premier 
|ments que provoquait une jockey. à quatorze ans (??) du 
digestion lente et CS aire Ge ppm vai Pavel 
UDurant deux pee j'ai 1e Jeux dis dise saGté que jour). Il-a-eu dix fois les 


k côtes, défoneées, son coeur a 
Pc. souffert de mauvaise diges-| dont je jouis aijourd’hui”, cessé de battre deux fois, et on 


©! tion et de douleurs internes Mine Pierre Ricard, 182, ruËë |a ramassé quatre foi - 
N fus ls vec 0e és St-Ber=1rd, ruse) ee sur te champ sas 

pie ions À a cs tits. malh 

| nerveuse pr D nS CONSULTATIONS. Res EP Géva, J'arrivais 

” our ce qué j'avais fait GRATUIT Les méde- ,| toujours le premier avec, Vic- 


si compassée qu'elle-même, et 
elle regrette fort cette élève in- ait un fil 
comparablement tranquille à Dominique--£be nom souriait|saît, assis aux pieds de ma mé- 
ses côtés, qui jamais ne lui po- peu à mes parents. N' importe ! re, que Mireille s’amusait avec 
sait de questions saugrenues, c'étäient Dominique et un hé-'sa poupée, je prenais le tam- 
qui jamais ‘ne renversait la ta- ritage’ en perspective, ou rien | bour de mon frère, et mes “ra”, 
ble. de travail, qui jamais ne du out. On accepta Dominique |mes “fla” étourdissaient toute | t8i 
prononçait des mots “karçon- et l'héritage. Mlle Anroré du |la maison, Crac. on supprimait 
nières”. Vésian, ravie, acheta un layette | le tambour. - M'attelant-à une 
Chère Miss! Je l'aimerai dix La 4 rang avec, des D — stylc|chaise, j'imitais les hennisse- 
fois plus quand elle aura quitté qe ique et renaissance — bro-|ments, les piaffements d'un 
Montilleul, bien qu’elle me pro- és à 1 nglaise, au plumetis, à | cheval; il y avait des galops ef- 
cure un certain nombre de dis- [tout ce que l'on voudra, Il y frénés, suivis de la chute d'in- 
tractions, avec. son- appétit de avait des bavoirs avec “Domi- nombrables bibelots et de la 
camnibale, ses dents d’ogre, son nique” en entier; des serviettes | iniense. 
corps de squelette et ses costu- avec “Bon appétit, .Domini- — Quelle enfant! soupirait 
mes étonnants. que”: des bonnets, avec “Dors | ma mère... si, encore, elle n'é- 
A toi, maintenant, mon bien, Dominique”; des brassié- | tait que te trible, mais... 
gros fou de Tourbillon. Je t'ui-[rés, avec “Saiit Dominique! Mais. on me croyait inintel- 
me! Je t'ajme à en mourir! Tu [Protégez votre filleul”. Eh, crac, | ligente, soite, pour parler erû- 
es si beau avec ta grande taille [€ n'est pas un tilleul qui arri-|ment, alors pu Leg ri fait du 
i te. rend lé tambour-major ve, c’est une filleule! Une énor- | jeu.un ami toutes les minu- 
e-tous les chiens du pays! EF! [Me filleule de onze livres, pour | tes. 11 paraît qu’à trois ans Ber- 
quél poil idéal! blane et noir 'aquelle aucun Leg n'était |nard et Mireille connaissaient 
long, un peu bouclé, -sdyeux. | 45502 grand, aucuhe brassière | leurs lettres. A cinq ans, je ne 
Une queue panache qui parle assez Jarge, savais ni À ni B. vain me 
Pendante entre pattes, oh! c'est Ah! quelle pr pour | donnait-on des images, un al- 
triste, triste : on a reçu une tape [tout ie monde! Ju ireille | phabet sur des carrés d'ivoire : 
Give travail. | qui disait à Bernard; 


ata ma santé hé cins de ta Compagnie Chi- * tor, un cheval de fer et de feu.” 


mique Franco- Américaine Sidoine est à Montilleul depuis 


l'âge de quinze ans. : S'il n 
dontient des consultations olus Victor, il conduit ns 


. Jules Rouges, qui m'avaient gratuites À toutes lesfemmes | bonne bête de Mascotte, jument 
n, De NATURE à une |qui viennent les voir où qui |de graisse et de lenteur, qui se 


à | voisine, qu e j'aixcommencéà leur écrivent. ferait porter. par. nous, si elle 


de Gothe, ou hien le découpais les maps et jon- 


le à côté de’ FAnglaise que tu] 77 C'est bien ennuyeux que | giais avec: l'alphabe 


abhorres, en bon français que | 2€ soit une pétite soeur, au lieu! On me mit gt exiemse 


tet tie Ans ed lu es. Très droite. re pre ed ru Le ver à Mamañ EE vp couvenk vin. <s fil- 
Les Pilules Rouges peut les F osait et pouvait le nder.. .|tu portes mon panier de fleurs, ne quan $ fnoû rl déja 
forces se sont accrues, Peu Pales et Faibles sont en vente chez tous Gervaise, femme de chambre, pes age 
ere ans, n'a jamais 
age, ce qui donne 


le journal; bref, ti te sens.très |© elle le saura. Et Mlle Aurore, (ps “Miller! oh 
uü En balançoire, c'est le| don! . 


bonheur: il y a dé Ja viande, Mlle Aurore était furieuse. 


couramment; quand elles. vi- 
rent mon mutisme, elles se mo- 


spa Sig quitté le quérent de moi, et l'une d'elles 


| 0 Mme Phi N Nos Here sr une haute idée de son goût et|du suére, mieux encore: Géva Une fille!! : Comme s'il n'y'm'appela “grosse. bécasse”! malades.de l'estomac qui nour- 
| Le Ans ds MS nr ein ln einer. |de ses capacités, Grand'mére|veut jouer, Géva veut sortir. | #vait pas #086s de filles en|Très froissée, je fis la mauvaise | rissent des vers et 7 Drniites 
1 Matin Potgen drte eCumgee (la carillonne régulièrement | Bou, bou, bou, quelle joie! Mais |France! Ou aurait sûrement | tête; butée dès le premier ins- | destfucteurs ne potsens saier 
#0 - Pointe Aterimiée. époux [cinq fois avant qu'elle entende gien n'esl- délicieux. mon gros voulu lui jouer un tour, sachant |lant, je me dispénsai de 4out|après être venus en 
Le J'avais eu pasesre de IMa-| vous les procurer dans loealite, [50h à loup, ‘comme uos fustunts de > | effort, et persuadée moi e laver lu médecine, Leg Pare cd 
D 1 ledies Cause | écrives-noun mous vous les caverrons mr rvaise devient- tout ’à |[causeries et de caresses Tu mte| La modicité du prix de “Mo: > «od 7À ne pouvais rien appren-| rapidement exp des in 
La | de ma san mon 1n6-| réception du prix, 50 sous la bone. s fait sourde, disait hier grand'- | forces à ouvrir Ja main, qu'ex- |ther Graves” Worm Extermina. 2e PP RPDIEL 2 see tins avec les autres déchets. Les 
AN. À deuin m F, COMPAGUE CHMIQUE FRANCO-AMENCANE rt en an grrr vd Ft Jan énorme pate, puis € [et on geut l'avoir chez lous les gere 2 0 ohes AR Le En or + j ‘ et 
: à Ms: k pour autres mets énorme et on peut l’avoir chez tous diabie quatre :" “un garçon santé de T t s'améliore 
Rev pi de ne ren néghiger pour ang Hate EURE À Lys ds ne € téoinent pas eet- relrousses es Rx een st 44 ris à HE REN EE 6 :  |manqu é”, murmuraicat ; triste- ; 5 
ke < 2 L D + $ VA j 


1 1. À 


f 


> 


il féyaze# "La résultat Nnancier 
".f! de cérte Notrée à'Atd de #90. 


# ee FU CPS | 


… en wisréhe. 


LT at fa 
“ot 


"Hien 
LI 2 pole mat =" 


£ 


‘ei da 


1 taré da perfectiome peu à | 
peu ai ürent cptte soirée, elle a en | ainsi qu'à M. le curé . aux Enfants 


trelétii "4. plusieurs freprires, l'auÿitot- 


> 


ceaix de musique. 
&énéreusem nt donnée pr: MM: Ge 
Güertin ct 15, Ayo 
ma 


au alle serait uñ passe temps itappré 


cigble Pour ceux qui, pensent à aller 
Finalement elle à été 
rt Poster, eCenx qu' 


Re VA 


V4 
ra pren ler prix dei hommes an fe 

; A Joe M. ‘fauchette, à lg deu 
ÿ A par Alfred 


Müier prix des ddmés à 66 gag par 


Mme Atmë Mondor et lé deuxième par 


‘  MIi& Anita Cadieux. 

ADrés dvoir eñtendü chansons, 
Glarmutions, dialogues, ele 
parèrtnt, enchanñtés de cette velllé 
de famille et aux sons d'une clairon 

_hée joyeite par le fanfare: 


as 


x fous se #6 


ANDRE. 


je de WIUTE LES à Fée, 
| tégurgehit de monde: 24} 
Qu'il œt 


use la 
FAURE Pied eue Phi rg 


le aise. Quelle dfffrenes ce 


je Ayripathique gvéc: plusieurs mor 
LA collation à été 


Jne “Jolie 
niloffné vendue à 1 MONA rapporté 
tout près ‘de #25. L'encanteur à assuré 


he pe] 


Avant la Masdidiion du mufiare, 1x 
LE déposer aux 
Let 


ré mhee 


qe 


{souper fut: servi aux Arena el amis, 


| de Marie. 
M. et Mine Jein. “héuviés “sÛE Bar: 


villes de l'Onest, à 
Les matiés hf reçu un grend nom- 


leur souhaitons bonheur. parfait. 
Mme Pierte Bouvier, mêre du ma. 


Shdnit-LA 


A aasiser x £e me | 
rest, M 
aus 


12 téyrier. 


rage 


date 
mariés 


le, “2 février. . 11. donnera! 
rence à°}a salle rrumicipale 
soir. ‘ 


Allons nombreux entendre M. Ville- 


1éuve,. Ikett bien renseigné: 


dra à toutes nos -questions, ‘à 


fl'répon. 


rs Routier, étpit dé témoin 


était ecompe 


Après la cérémonie, M. « Mme 
Tremblay oht-seçu en leur-detmeufe, 
où les salons étañent décorés de rûses 
et de verdure.» Un suceulent dîner et 


{is en voyage nor une Quinzaine chez 
leurs parents et amis de différentes 


bre de jolts et riches cadeaux, Nous 


ré, atst Que sa filetté Fita, étwit à | 


étajl, aussi, la 
des bent! des. tai 


6e. confé: 


x as se 


% 
» 


nous, engagea à nos 
emple de cette ER 


tré volonté. ee ne-doutons 


Le soir 


coup de simplicité et. d'6 
me, l'histoire dela: 


droits des Cañadiôns francuis, 


“xHida 


Sur l'invitatidt: de n 
l'abbé Sabourin; qut a 


avoir fonné un 
HAT de la vie de sainte Tage il 


5, 34 Yex ei 
S Sont 
et ar no 
ce sermnn si pratique porterà d'est 
lents fruits dans toutes les familles... 
à, huit houres, là salle du 
convent se rémplit de parents et d'æ f 
mis avides d'entendré leurs: enfants |?” 
pen une lego d'histoire du Canada. 
Les élèves des sixième, septième et 
huitième grades racontèrent avec | beat 
éloquence prié. 
domination angiaf. 
se, en faisant ressortir surtout les 
récits, entremélés de chant# patrioti- 
ne parurent pas trop} longs à 
ta so1 à 


is ar D 


rQbae 
e- jus un chef-d'oeuvre. 


ge tré’ très. cob | 1 ‘déià ‘quant aux répétitions aë-la| 
man de ses latente accorda-un Fr 8 
grand: congé pour le lendemain. 7 Hu Li: 
> pastetir. M. 
deu l'aimavie 44, Domitifon@uiar 14/25 pour Aécta- 
, à kette: petite troupe |. 
M ÿ | Viienenee,: omtlidre agrt | omplaisance. d'assister à cétte leçon | Mer, / Pncourager 
côte, Yieidra à Sainte-Ânne, &immanche | d'histoire, dnfR@ préniré ‘læ parolé, | Qui s'est ‘attaqués’ une ‘telle oeuvre 
Arrneus ser vit: dlbrs uné autre pièce 
#'h: du ! Pélaauence: basde sur l'histoire et bien gaîse du vrai théâtre français. 


propre 4 nchs fetsuader que noùs de 


| vons êtré et rester Canadiens francais, 


en tout et toujours. 
# 


LE L2 D 
B'orchestre et ln fanfnre traviilient 
formé pour la partie de cartes du 22 
février, afiu dé donner un vrai régal 
artistique. Vonez en granG-nombre 
ne seraitce que pour entendre ln mu 
sique. 


L2 L2 L2 
L'Association des Fermiers-Unis te 
nak su réunion. dnnuelle d'actionnai 
res, mardi le 10 février, Tous les mû 
mes directeurs ont été réélus. M. EX 
Parent, dans un vibrant discours, a 
fait. un abpél partleulier aux pétion 
haires. en. leur. demañdant d'éncourn! 
ger cette association, en la/fuvorisan! 
de leurs achats au lieu d'aller acheter 
Quieure 
. » 
Dans une fête F AO et tamiitdie. 


“Mf-et- Mie Mafiias-Pittion ont CT 


bré leurs noces 'd'argént d'union con 
an sur À Ù février. 
ee . L_ 4 
ds Con acçident pst survenu à M 


Hfrid Vermeltez. en selant du, bois 
x la machine, 11 s'est fait awputer. un 
A -ReMCe. purs 


Le 1 tévrièr, Mile “dène GaUe 


Les Enfaits de Marie et quelques äu 
tres ont fait les frais du chant. Le 
fête religieuse terminée, les invités st 
rendirent nombreux sous le toit pa 
Cernel, oÙ'lés attendait Ün suchulen 
repas, Au commencement dé cès agf 
pes fainiliales, Davhi Granger, é1èvt 
ên philosophie au collège et frère de 
lh mariée, 5e leva et fit Aüx Wéros di 
Jbür une adresse bieh sentle et satu 
rée de sentiments délieats et frater 
tels. 11 félicita chuleurausenient le 
“lus de. la circonstance de leur. ehoi 
respectif, des principes profondémer 
chrétiens qui les animent; 1! loui so: 
haïta longue vie, bonlieut el courag 
fans céite voie où aujdurd'hnt à 
éueilleront des roses et peñt’tre (dk 
main dès épiues”". Dans cette adres 
:\Wbratoñt les Joles dhrétionnes de ll; 
+ iménée, les! regrets du départ et les 
douleurs de la séparation de là famille 
qui chérissait tepdrement cite soeur 
pour uw endroit éloigné, 11 ft anse! 
du marié un'éloge bien mérfts. Ce ne 
fut, que tard duns Lu D que se tér- 


ünissait, Aux pieds des outels, sa tes 
“Unée-à M. Wilfrid Auger, de Dojlard | 
Sask,, La messe nuptiale, à laquelle 
@paistaient un grand nombre de pa 
rents et d'amis, eut lieu à dix heures 


ns Sninte-Amélie, Man. unissdit 


L 


LAURIER 


fait preuve dans l'organisation dé leur 
soirée de caïtes devait nécessairement 
aboutir à" ‘un franc süécès. La veillée 
du 12 février nous A procuré un agré- 
1ble” passe-temps et à augmerté consi: 
#rablement li somme en réserve pour 

‘avhèvoment de notre! sülle, 

Les brix “qui fürent d'un goût choi 
1, ont fé gagnés par Mile Anna Bpu 
‘etet M, Edouard Coté, À la raie’ la 
chance dénma une trés belle horloge 
» M. Antoine Boulet et une bouilloire 
" nickel à Mile Henriette Côt£ 

Les jeunes filles ont malatenani la 
tâche de noùs dünner Ii deralère-par 
Hé de cartes ayant. le carême, 11 fav 
1ra un: coup de collier! Blles le-don 
neront volontiers, n'en doutons pas 

L1 + + 


M. Jules Deschènez, notre chef üc 
sare et notre maître de chant, fous 2 
luittés dernièrément pour se rendre 


“Manche Breton.  L+ correspondant lo 
Al nous énvérra sans doute des écho: 
e la belle cétémenia religieuse qu’ 
l'est déroulée dans l'éElise de Mont 
vartre, Enattendant de les lire, pou 
vübaitons à M. ét Mme J. Déehén ci 
onheur et prospérité durant de lon 
rues années 3 


TE RE -De——— 


té 


À Nomination 

Depuis le ds ‘part de. M. Ô. Charbon 
10e, il mariquait un commissaire ay 
Ustrict scoltire de Sainte-Rose, Le 
ontriltiables de cet arrondissement 
*” réunissaient en très grand ombre 
la salle de l'école, jeudi, soir le. 12 
vrier, M, le Dr Henri Gosselin, pre 
osé par M. Albert Couillard et secdn 
16 par M. Napoléon Züste, ef M. 

eph Velcount, pronocé par M Fer 
Saurélte et secondé par M. Thomag 
Danje,. furent les deux candidats not. 
mês. Nous aurons done une élect 

La campagne élpctorale, pour courtg 
qu'elle soit, promet d'être très active 
et intéresarntte. Le jour de la votation 
est fixé pour le 26 février, à la sale 
municipale, de 9 à. am. à 8 h. pm. " 

Mariage: i 
Le 19 février, M. Edouard Brelard, 


destinée, à celle de Mile Magié-Aldir 


à Montmartre, Sask., où le: 19 courant 
il unira sa destinée à celle de Mic 


D ET 
gné de notre curé et de MM, les 


conimissaires -d'école T. Joyai et S. 


, Beaudoin, faisait subir aux élèves des 


L'activité dont nos jeunes: gens ont | examens qui furent très satisfaisants. | franc sugcês. Les ‘membres de lui cho 


A 11 h;, la troupe joyeuse des écoliers 


se Mâta d'aller jouir. de son congé, 


se assistance témoigna l'éstimé e 
préciation ° des habitant: de 
Agathe pour cet ami d 
vateurs. 28) 
CR SET ET 
SAINT- PIERRE 


& a 


Bruneau, agent 
macros À coddré Singer, 
ment interromph son ouvrage, 
malade à l'hôpital 'Safnt-Roch, 
‘e 1 février. 
prompt rétablissement. 

TT É -d— —— 


TRANSCONA 


février 


vent à la fin! 


ment de: la belle partie de 


dés visiteurs de partout. 
resque . comble. 
vhist furent: jouées et les prix 


superbe , prostimme. musica). 


pelée_ pfusi 


re. Miles Yvonne Morin, Eva 


très contents de cette soiréé 


bien décidés dy. |reteuréer 


Mardi à $ h.. M. I. Villeneuve donna | leur satisfaction et s'en sont allés avec 
#a conférence agricole annuelle dans | l'intention “bien arrêtée de revenir 
notre sulle 'baroissiale. Une uomibreu. | bientôt à une pareille fête de paroisse. 


Bunte 


voué des du - 


Noùs apprenons | dis, M. Wenceslas | rale envers les généreux donateurs et 
de la compagnie des 


forcé. 
étant 
depuis 


Partis de cartes, te: dimanche 15 


Quelle agréable yeiilée nous venons | ÿ3]" l'organiste. Au nom le la cho. 


le passer, À la salle paroissiale de |raje ji] présenta à M. Héltié un bâton 
Transcona! Quel brio du commiéncks de direction, et à AL Dorval deux ma 


Nous étions environ £üifiques pipes. C'était une. marque 
40 des clubs de. raquetteurs Saint: d'amitié 
fghace et Saint-Edouard; nous sommes | tion dés membres de la {chorale pour 
arts de Winnipeg, les ns en, ao | ceux qui les dirigent. 

MS, les autres à pied; er avec. cela, 
versonne en retürd pour le-commen cartes, 


cartes 


‘Grand entrain comme toujours bl bois”. 
La sale étai 
Douze  iudin . 


| ee 


furent 


décernés aux gagnants suivants: Miller de ces nactèurs sur:la scène provoqua 
Rose Audette et M; Péletior, MM 


täwond Grégofre et Browürigs. 
Un succulent goûter fut ensuite ser 
vi, et après. s'être régalés, ii y eut un 


Mile 


Grace Miller a jolimehs interprété dés lenthantement - 

morceaux très difficiles. lle fut rap } ment immédiat procuré p 
eurs fois. Milé Marengo | rérnède de Pasthme du 

chantn avec besucoup d'art et sut cap: Mar est 

ter les applaudissements de l'auditoi 


Foro 1e 


ét d'autres aidèrent "à compléter ce 
migaifique programme artistique. 
Nous sommes revenus à Winnipeg | Le 


pangée 


vec nos bons amis de Transcona et 


A ga Le 


| 


Nous Jui souhaitons un invita Mgr: KArchetêque à porter la 


sur ceux au-dessis dé 
pénis a été adoptée. Un avis 

ddération av6t4 donng par: ! 
Doucet. JH-a donné pour 
de. cette cs à le sort d' 


‘Le réglement ‘de la balance ee ar 
gent dû sur le prélevé de 1924 pour 
ns d'admintftration scolaire, ep souf- | 
RU US à le Fa le 


C'est lundt- prochain, le 23, que sera 
jouée ia pièce WiWdmond Réstand, 
Ceux qui connaissent l'oéuvré de ce 


poète kant int à à Vis aw'élle est 


Lés nouvelles qui nous “viennent de, 


sont des Sani nm [ 
us eue 
tôle seb 2 pre pet Afud toüs ‘se rendent 


n'ont pas de ‘chance... ‘ 


SRE PE LE 
4) 118 | 
‘Concert- He, 
LVL TN # 
Dindacliat soir, je nie à fi 
faré La Vérendrye donnera tn concert 
ddns la salle du Collège à 8. b, A0 
L'entrée est gratuite. 


— Aion encouragés cés liens ati 


rtie de cartes de la Cho-| 
rale au Collège [se sont toujours prêté: avét emptes. | 
sértent À rebaus cr nôs fêtes religleh / 


La soirée dé Stands" &- té un fses ci hè ticns!ex “En sus du program 
ne. musical, M, l'abhé J.-A, Sabourin, | 
chancelier du diocèse, doïinera  uhe 

conférence: :#‘De  hotre . mentalité”. 4 

C'est un sujet qui est très” intéressant. 230, RUE MAIN. 

Venez entendre le conf et vous il. RAA AA 

repartirez avec déa/notions exactes de 

ce que doit être notre mentalité cana- 
dienne-françatse. pi 

: Voict le proframme-de la s6irée; 

‘Marche réumainé: “Botdanu”, nue 
rine, " 

Ouverturé: “La reine des fours”, H: 

Mestdagh. tu 7 

Caprice; “Solitude”, 8, Mercadante, 
Chant: “La flañcée du: soldat”, C. 
immiiuidé: Mile Mürle Benoit. 


air amie, 
Pot pourri d'airs américains, arr, M. | four employer EE oi sauver 
Beyer. 

“De notre, mentalité”, 


Conférence: Achetez ourd’hui une bouteille n L 3, 
A, s 


M. l'ahbé J-Ad, Sabouris, chancelier à nee ai. de re 
Yu diocèse de Saint-Boniface.. à 'éerives. mn 

| Roped espagnol: “Au-delà des Py- ] 

L.J Baudouck, | cdi po 

Chant: “Dieu bônit celut qui donne”, D TT ae 2 HOMME 
XXX: ‘M. Raphaël Pinvidie. , M a RER. 

Valse lônte, A. Mahy. IR } . ("SR 
Fantaisie: “Ars canadiens”, art. L-|1l.: AATIAN tATITNAR & 1 À ne 


afin dé donner à notre popülation fran- 


On peut réserver les ‘places à 1a Lt: 
bräirié Kéroack, Ltée, Winninog. 
« és —— 440 L A " ‘47! 


eds ds RAT 


Parfum d'aller. :...,. 


rale ont lien. d'en être, flets: 


C'etx 
qui y ont assisté n'ont pas dissimulé 


M ligio lee usée #4 ae à 0 0,8 


L'entrain, —a gaieté ont régné pa 
toute læ soirée. 

“Au début M: le ‘président 3.-L Tru! 
dlekù remercia tous ceux qui avaïent | 
trâvaillé à l'organisation de cette fête 
et à l'élaboration dit programme, Il 
expriron la, reconnaissango de la cho. 


—cela depend dé. ré 
pairs ma 
d'un. homime n+ 


envers la population de BSaint-Boni 
frée-et de Winnipeg qui avait répondr 
avec tant d'empressement à l'invit 
tion de la chorale. nr terminant, i! 


üUx premiers 


parole. 

Sa Grandefr, en quelques mots, re 
mercia. et félicita la chorale u'-bon 
travail qu'elle fäit pour relfausser nos | 
cérémonies religieuses, ]1 signala 
tout particulièrement le dévouement 
du. directeur, M. Hélie, et M. Dor 


P: 


“O Canada”. s 

Directéur: Joseph Vermander: 
piano, M. Benoît. 

Les revenus de £e concert vérriront! 


Aù 
et un téfiotgnage 


d'admira 


‘Imnlédiatement après la partié de 
nm, chorale éxécuta deux 
“Fränçe” et “Le cérf au 
Ces deux choeurs turent très 
appleudis. 
Le quatuor improvisé clôtüra cette. 
belle vetillée dé familles, L'Apparition 


choeurs: 


magie MecRuér) éu commencement | de 
la semaine prochäine. 


“…. 
"Là Cour 


‘No 262 de 1'@râie| 


uü éclat de rire £énéral, Ils duren 
revenir, à plusieurs reprises, car les 


Chasse l'asthme comme par 
Le sa 


ce est pee 


les Ing “ 


7 NE ATSS. ellès 


quelle est ce monastère, a pt 

s d'hiver à survélller les raraux 
et: À régler les difficultés financières 
de l'entreprise heureusemett menée. à 
boïne ff. Ajoutons ‘que, ‘la nouvelle 
anflexé, à l'épreuve du fe, fait. hôn* 


25 pi dons re A E FES 


Tous. sont invités À venir paster “Le bilinguisme nécosire 


[une agréable soirée qui commencera 


ns con acc anus © Lu ular de RCE T 


TE ah : 
* L'hôtel Impérial, rüe lai, dont la | glaise d'Ontario devraient apprénäre | : 


construction remontait à 1881, a êté le français, et les gens de 
détruit par un incendie dimanche ma: caise. de Québec devraient 


.|tin; dans là nuit,.avee plusieurs j1na- | l'anglais, ce qui produirait une réelle 


unes: orsanisé À M. AR. Paguin.. 


ls eq Gin, # 
bLesigene ge 


Qny. Vanier, path 


cath qua 
ES one 


| Déstüiniers qui a donné sa démtenion 
comme président| à cause de ses noi 


‘breusef occupations. 


M; HenryrAuger à été- ehoist-à - 
l'unanimité comme: deuxième. vice. 


neur, au! constructeur, M. J-Albert ! 


Tremblay, de Winnipeg. 
—— 2 20-2 — 


Récital Dostert 


Mlle Yvonne Thibault, soprano, as- 
sistera Mile Annette Dostert, pianiste, 
à son récital qui aura lieu lundi Je 
2 février au “Mysie and Arts Bldg."” 


#'h. 30._Mma G. Beauchemin açcom- cu. 


ét Popese mu pion pe Rien 
#t Programme 114 
| Prétude et Fugue, D bbir, Bach 
: | Busont. 
« Fr Nocturne; “inde 0. 10 no 10; An- 
spianato: et Polonaise op. 22: 


Chopin: 

: #Valse de Musette” den Bohème, 
Puccini; “Oh! si les fleurs avaient des 
yeux”, Massenet; “Habanera’! de Car- 
men, Bizet. 

Sonate op. 57, Macdowell, 

“Sylvian", P. Curran; “The Star”, 
Rogers; “Rain”, Ronald. 

- Sarabande, Debussy; El Alhaici, 
Atbenise: Concerto B bémol mineur 
(ier mouvement), Tséaikowsky. 

Deuxième piano: M. L-D. Henton. 

+ DAT ee à A SNEMEES 


k. Pésauiniérs, président dé- 
misbonaaire, devient directeur de la 
Soc) 

rt 0-4 0D0-2—— 


bus 2 à M. Edouard 
tpetit ï 
| Montréal — Les g cp SE élèves de 
des sciences sociales, économi- 
et politiques, bar un banquet qui 
sb) au Windsor l'élité univér. 
sitatre fütour de M. Edouard Montpe- 
tit, Jui ont rendu un magnifique hom- 
mage, à l'occasion de son prochain dé- 
part pour Paris où i} donnera une série 
da cours, en Sorbonne, sur le Canada. 
_Le plus grand enthousiasme a marqué 
cette fête qui rapprochait plusieurs des 
orateurs les plus appréciés. 

M. Edonard Montpetit, après avoir | 
remercié ses nombreux amis, a tracé 
à son auditoire le programme des 
cours qu'il entend donner à la Sor- 
bonne: 1] y traitera d'un sujet d'une 
haute envergure et qui lui est familier 

depuis longtemps: da survivance des 
Canadiens français. 

Les autres orateurs ont été Mgr Piet- 
te, MM. Raoul] Dandurand, E.-P. Pate- 


- [de poteaix tidiéators.:et à l'entretien Se 


gasins 


i; #11 Re = GANAD, Di | À sou ise A0 7 gt 


MENU (EE. RU mass a tic TT RER 


ETES 
prix 


de. libra 
ie 


dre { 
nts. Les dégâts sont éva- | unité de races, un commerce {ntetpro- R 


tués à $100,000. Les personnes qui | vincial plus considérable : A à sh 


se trouvaient dand)l'hôtel sont saines nement des jeunes gens, qui 0 
ét sauves, mais q unes ont pér- | porter le. drapeau 


+ [ait Get Shsnatcieeen. esta seule 
14 Perte du Dôtisin qui ne possède 
point de ligie 48 6e Yenre qui veille 
Tai éontértides surtétès; à l'nstétiation 


sues, ce serait la cinquième 
tessource naturelle du pays 


dé bonnes cas Elle démande des |! Vus 


milliers pa) et l'envoi de dé: 
re ficonrenuon dut 
les 25, 26 et 


légués: à nu 
séra en À 

d1 tévrier, en mèênre témps que 
des commissaires d'#cplés. 


STONE 
| Ve vblle dame 5m 


ui net 


celle désires? 

Le garçon — Je viéns pour la #6 
compense de 60 sous que. vous avëéz 
promise À celui “Qui vo vous rapporteralt 
votre serin, / 

La vieille dame — Mais je ñe comn- 
prends pas, tu m’apportes là un chat. 

Le garçon — Je le sais bien, mais 

est dedans, je l'ai bien yu au 

t où le chat l'a mangé. : , 

j J . . « ' 
Soulage ra rapidement toux et 
catarrhe -- “Mon mari. avait 

une es mauvaise foux”, 6€ ' 


Suicide par se feu 


}Teulon, Man: —-John Negrych, un 
termier ruthène d'sdistriet de Teulon. 
est mort à la suite de brûüluyes qu'il 
s'était infiigées. II fit un tas de paille, 
l'imibiba de gazoline, y mit le feu et 
se jeta dedans. ‘Un voisin, qui allait! | 
rendre visite à Negrych, le trouva se à 
traîtnant dans les cendres et horribie- 


comme e ie - 

Ottawa — M. Arthur Lemont, autre- tement: Je Ame le nca 
fois rédacteur au “Canada” et au “So- à üine amie dui mé demanda de 
leil”, püis directeur du bureau de ra- lui en donnér r parce que soni bé: 


patriement aux Etats-Unis, M, Alonzo |f£ souffrait du catarthe: Dans ! 


Saint-Mars, correspondant  parlemen- |... ussi 
taire de la “Presse” à Québec, M. Pier: ° eme 2 ne ra0t tri À + 


re Daviault, correspondant parlemen: | 
meilleur m 
{taire de la “Presse” à Ottawn, et M ure _: santé aintenant 


Ernest Shenck, qui'fut aptrefois de la ges a, pes dd cs 

rédaction. du ‘’Deydir” et du “Natio- chanteme nt, mais pour le faire 

naliste” et subséquemment pübliciste dispar aîtré” dé la même façon 

À. Montréal, viennent étre! nommée Los se in problème que vous ré- 

traducteurs aux Débats à Ottawa, soudréz- mieux en ayant tou- 
re Dee 

jours ‘chez. vous üne boutéillé 

Un monument à un amiral de cette vieille préparation vé- 

français au Pérou gétale. Ce remède de famille 

si favorablement expérimenté 


*'Bônne pote Kobe" 


s0np6,, mon : enfant, -qu'est-ce, que tu |. 


| Marchandise gi snrantie 


Lund Doutevaté Dollars, Sais Saint-Benttace 


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dos Vétérans français t tret, L-3. Dalbis, Hector Perrier. 
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Lima, Pfrod — Récemment à eu 
Hep l'inauguratlo, dépuis longtemps 
projetée, du monument que Ia ville dé 
Lima avait décidé d'élever à la mé- 
moiré dé l'amiral Dupetit-Thouars, 
dont la généreuse attitude l'avaii em- 
pêchée d'être bomibardée et pillée lors 


est aussi effectif pour les vieil- 
lards que pour la jeunesse. -Il 
guérit vite. Vous ne le trou- 
verez pas dans les pharmacies, 

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sent. Ecrire au Dr Peter Fahr- 


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Montréal —- Le conférencier à la 
séance de couronnement des “Prix 
d'action intellectuelle”, le 19, sers, M. 
Hevuri Bourassa. 

En outre, le président général de 
l'A. C. 3. C. fera cohnaître la décision 
du jury, proclamera les heureux lau- 
réats et indiquera les mérites de leurs 
oeuvres. Le R. P. Louis Lalande, S.J. 
recteur du collège Sainte-Marie, séra 


Saskatoon — Le club local d'auto 
spéciale | mobilisées vient d'envoyer quelques 


de la guerre avec le Chili (1881). Cette 
cérémonie, qui coïncidait avec celles 
auxquelles a donné lieu le centenaire 
de la bataille d'Ayacucho, s'est dérou- 


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